stema33 a écrit:thyuig a écrit:Par contre, le plébiscite du public s'est largement dirigé vers 5000 kms par seconde.
Oui, je me suis dis que j'allais feuilleter ça chez mon libraire, mais le pitch m'emballe moins...
Thierry_2 a écrit:j'aurais presque envie de dire que l'intrigue de 5000 est accessoire à côté de l'ambiance et des sentiments transmis par Fior
thyuig a écrit:...Et tout ça coule facilement, sans heurt, sans faute de goût. Manuel Fior ne juge pas ses personnages, ils les convoquent le temps d'une histoire mais ne leur colle pas tous les défauts du monde pour pouvoir les évoquer. Non, il figure des gens normaux et les placent tout simplement dans un futur proche. L'enjeu alors n'est pas de spéculer sur ce futur mais de démontrer que même dans 50 ou 100 ans, les questions de société, le fameux jeu du qui baise qui, resteront le coeur de préoccupations humaines et que le matériel reste accessoire.
Très bon bouquin.
chris24 a écrit:C'est curieux cette fin, on dirait qu'une suite est clairement annoncée, vous avez eu cette impression aussi ? Ceci est d'autant plus renforcé que malgré le nombre de pages conséquent l'histoire ne dévoile pas grand chose. Cependant il y a quelque chose d'hypnotisant dans le récit, du moins dans l'ambiance créée, qui fait qu'on ne lâche pas le livre avant d'être parvenu au bout, jusqu'à cette coupure brutale qui ouvre une porte avec une possible suite...
herve26 a écrit:Entre science fiction et roman graphique, j'avoue avoir du mal à me faire une opinion définitive sur cet album.
Malgré des approches graphiques audacieuses, je n'ai pas réussi à rentrer dans cette histoire.
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