bib, secco,
Les proces gagnes recemment par Clearstream ne se referent pas a la 2eme affaire, mais bien a la 1ere. Il s'agit notamment des appels faits au 1eres instances gagnees par DR.
J'avais donc bien raison, il faut lire L'Affaire des affaires sinon on dit des bêtises
J
")... Il y a deux affaires Clearstream : une première affaire sur la chambre de compensation internationale qui n'a pas été démentie et dans laquelle, dans mon souvenir, Denis Robert a gagné ses procès. ...
La deuxième affaire, dans laquelle Denis Robert a perdu certains de ses procès (mais il faut voir sur quels propos précis portaient les accusations......), est toujours en jugementS.
L'album se construit comme suit : les premières pages sont effectivement situées peu avant l'élection de 2007 PUIS le reste de l'album part des débuts de Denis Robert d'abord comme correspondant dans l'est vers le début des années 1990 puis comme journaliste à Libé puis comme journaliste investigateur indépendant... Le tome 1 pose bien le contexte de la révélation de Clearstream 1.
J'ai personnellement trouvé l'album très intéressant étant un peu jeune pour me souvenir des prémisses de l'affaire. J'ai également adoré le travail de Laurent Astier sur cet album. A la fin de ce tome 1, on mesure pleinement le côté thriller politico-financier de la série et cela augure un tome 2 encore plus passionnant. Bref, j'ai hâte et vous conseille cette lecture qui éclairera les prochains événements autour de l'affaire et qui devraient avoir lieu fin de l'année 2009....
Ben apparemment, le lire n'empeche pas d'en ecrire pour autant :
tu es sure que tu n'es pas attachee de presse chez Dargaud?
Cet ouvrage est instructif et quasiment indispensable (à la différence de la conclusion de la première chronique) si on veut comprendre le parcours de Denis Robert, presque journaliste d'investigation malgré lui.
Un pavé dans la mare ? Assurément non, mais plus de 200 pages qui éclairent le fonctionnement du reporter dans sa recherche de la vérité, sur ses rencontres, ses implications et sa volonté d’aller au bout des choses au risque d’agacer ou de déranger. Instructif à défaut d'être indispensable.
Mardi 29 novembre 2011
Communication de Denis Robert
Enfin !
Aujourd’hui, l’Affaire Clearstream - numéro un, celle de mon enquête et des attaques incessantes de Clearstream à mon encontre - est close. Définitivement. Et de manière je pense utile.
La Cour d’Appel de Lyon vient de débouter – à nouveau – Clearstream de ses demandes de condamnation pour diffamation à mon encontre.
La Cour d’Appel de Lyon a rejeté les dommages et intérêts demandées par Clearstream à mon encontre.
La Cour d’Appel de Lyon a condamné à me verser la somme de 56.500 euros au titre des frais de procédure.
La Cour d’Appel de Lyon a aussi rejeté les dommages et intérêts que j’ai demandé à Clearstream.
Dans l’histoire de la presse, les journalistes ne reçoivent classiquement pas de dommages et intérêts.
Je m’en sortirai sans. Et remercie les milliers de personnes qui m’ont soutenu financièrement. Et sans qui l’essentiel n’aurait pas été possible.
L’essentiel pour moi est que la Cour d’Appel de Lyon confirme – ce qu’elle fait le caractère sérieux de mon enquête.
Le caractère sérieux de mon travail a été établi par la Cour de Cassation le 3 février 2010. Il l’a été sur trois dossiers : celui de mon premier livre « Révélation$ » sorti le 3 mars 2001, celui de mon premier documentaire sur l’affaire « Les dissimulateurs » diffusé sur Canal le 28 février 2001 et sur mon second livre « La boîte noire » sorti en octobre 2002.
Le plus important au regard de ces dix années est qu’une jurisprudence changeant la nature du fait diffamatoire pour les journalistes ait été établie offrant une plus grande liberté d’expression à tous.
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