Lowlife est un recueil d'histoires courtes, de dessins. C'est un album pour lequel j'ai eu l'impression que son auteur expérimentait, comme une sorte de laboratoire de techniques graphiques. Le fond est extrêmement sombre, dérangeant et pessimiste. certaines histoires sont muettes, il a une narration très forte dans ce domaine.
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Résultat : on commence une histoire courte dans la forêt amazonienne, et on la finit avec un couples d'indiens expatriés regardant la télé, en passant par un viol, une ou deux tueries, et une entreprise qui exploite les pauvres. Bref, un amalgamme de beaucoup de choses, qui rend le tout un peu brouillon dans la logique et ce n'est pas toujours évident de comprendre là où veut en venir l'auteur. A moins qu'en fait, il ne cherche qu'à transmettre tout un tas de sensations, un peu en vrac.
Résultat : on commence une histoire courte dans la forêt amazonienne, et on la finit avec un couples d'indiens expatriés regardant la télé, en passant par un viol, une ou deux tueries, et une entreprise qui exploite les pauvres. Bref, un amalgamme de beaucoup de choses, qui rend le tout un peu brouillon dans la logique et ce n'est pas toujours évident de comprendre là où veut en venir l'auteur. A moins qu'en fait, il ne cherche qu'à transmettre tout un tas de sensations, un peu en vrac.
Même si ma perception n'est pas la même que la tienne, le reproche que je formule dans la chronique est grosso-merdo le même, à savoir un cassage de fluidité en balançant des cases plus ou moins hors sujets au milieu de sa narration et la présence de quelques longueurs. Quand je fais un rapprochement avec Là ou vont nos pères, c'est juste pour souligner le caractère a priori plus propice à une certaine universalité de la BD sans texte.
ah ben pour moi c'est limpide cette histoire...
C'est l'histoire de gens qui veulent un avenir (et un monde) meilleur pour eux et pour leurs enfants et qui par les aléas d'une vie toute pourrie voient leurs enfants devenir dealer et prostituée dans le-dit monde meilleur et qui en fin de compte sont l'un comme l'autre assassinés... et là, cynisme suprême, les parents se disent : même pas grave, puisqu'on a enfin une télévision...
aaaaaaah j'adore
Ah ben dit comme ca on dirait que tu parles de Colibri...
Un nouveau prix des lecteurs (avertis, puisqu'ils lisent ce canard) de Libé ?
Ah bah le rapprochement avec la misère et la politique du monde actuel est omniprésent dans cette bd, et c'est clair que l'auteur doit lui même être abonné à Libé. Voire à l'Huma.
Moi je lis 20minutes ! Je dois être besancenoïste qui s'ignore...
Oh bah merde me vlà bien
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