J'irais plus loin en disant qu'une chronique ne peut pas être autrement que subjective.
Et puis, comme on dit, les gouts et les couleurs...
Après en partant du même constat, je n'arrive pas à la même conclusion.
Hana Attori ne prétend pas boxer dans la même catégorie qu'un album de Béjà ou de Bézian.
On en peut le comparer qu'à des albums ayant en gros le même objectif, c'est à dire être distrayant et sympa.
Et là, il y une telle surenchère justement dans les sous-lanfeust, sous-seigneurs des anneaux, sous-da vinci code, etc... qu'Hana Attari (qui, au delà d'être juste un produit commercial, possède une vraie sincérité) me semble vraiment sortir du lot.
Mais ce n'est que mon avis (subjectif aussi, bien sûr)
