Croaa a écrit:Il faut que je demande des royalties pour la 5...
Croaa a écrit:On lit en commençant par la gauche, non ?
Mais j'avoue que cela peut marcher en commençant par la droite aussi.
sa consommation personnelle, qu’il estime entre “40 et 50 joints par jour”
Brian Addav a écrit:sa consommation personnelle, qu’il estime entre “40 et 50 joints par jour”
Ok, il vit en Suisse donc il a de la thune, mais sérieux, quand je pense qu'étudiant, je voyais mes potes se mettre à 3 ou 4 pour s'acheter un joint, je me dis que le marché s'est salement développé depuis
Olaf Le Bou a écrit:Brian Addav a écrit:sa consommation personnelle, qu’il estime entre “40 et 50 joints par jour”
Ok, il vit en Suisse donc il a de la thune, mais sérieux, quand je pense qu'étudiant, je voyais mes potes se mettre à 3 ou 4 pour s'acheter un joint, je me dis que le marché s'est salement développé depuis
j'ai curieusement passé une adolescence totalement déconnectée du chichon. je ne sais si c'est une question d'époque, de lieu, de fréquentation, mais autant on picolait sévère dès le collège, autant toute ma classe se retrouvait pour des soirées beuveries au lycée, autant les soirées étudiantes étaient l'occasion de cuites mahousses et répétées, autant le seul shit que j'ai croisé avant mes 22 ans c'était un pote de fac qui piquait occasionnellement un fond de beuh à ses grands frères babos. mais sinon, rien de rien, jamais vu personne en fumer ni en proposer. et pourtant je sortais beaucoup. centre de la France, années 85-90 pour situer.
choc culturel intense quand j'ai fait mes douze mois en Champagne, la quasi totalité de mes condisciples fumaient à tours de bras, il y avait des pipes à eaux de planquées dans les placards et des boulettes jusque dans mon lit. jamais compris comment une telle différence de mode de consommation était possible.
Olaf Le Bou a écrit:Brian Addav a écrit:sa consommation personnelle, qu’il estime entre “40 et 50 joints par jour”
Ok, il vit en Suisse donc il a de la thune, mais sérieux, quand je pense qu'étudiant, je voyais mes potes se mettre à 3 ou 4 pour s'acheter un joint, je me dis que le marché s'est salement développé depuis
j'ai curieusement passé une adolescence totalement déconnectée du chichon. je ne sais si c'est une question d'époque, de lieu, de fréquentation, mais autant on picolait sévère dès le collège, autant toute ma classe se retrouvait pour des soirées beuveries au lycée, autant les soirées étudiantes étaient l'occasion de cuites mahousses et répétées, autant le seul shit que j'ai croisé avant mes 22 ans c'était un pote de fac qui piquait occasionnellement un fond de beuh à ses grands frères babos. mais sinon, rien de rien, jamais vu personne en fumer ni en proposer. et pourtant je sortais beaucoup. centre de la France, années 85-90 pour situer.
choc culturel intense quand j'ai fait mes douze mois en Champagne, la quasi totalité de mes condisciples fumaient à tours de bras, il y avait des pipes à eaux de planquées dans les placards et des boulettes jusque dans mon lit. jamais compris comment une telle différence de mode de consommation était possible.
Cooltrane a écrit:entre 6.00 et 15.00 du gramme (différentes qualités) dans les coffee shops hollandais (quatre ou cinq pétards selon les utilisateurs et leur charge voulue), leur came (cigares jamaïcains) est nettement moins chère que tes boulons cubains.
Morti a écrit:Cooltrane a écrit:entre 6.00 et 15.00 du gramme (différentes qualités) dans les coffee shops hollandais (quatre ou cinq pétards selon les utilisateurs et leur charge voulue), leur came (cigares jamaïcains) est nettement moins chère que tes boulons cubains.
Ben oui, c'est ce que je dis...
Les critiques de films porno totalement premier degré dans La Revue du Cinéma en 1978.
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