de bru » 06/02/2018 16:19
Les films Disney vus par un Psy :
Blanche neige et les 7 nains: Harcèlement sexuel par handicapés en réunion, sur mineure réduite à l’esclavage domestique sur fond de misère sociale dans les villes minières du nord de la France.
Pinocchio: Pédophilie sur garçon appareillé par personne dépositaire de l’autorité parentale. Et probablement actes de zoophilie sur ce pauvre criquet qui tente de donner son avis mais dont tout le monde se branle.
Fantasia: Grossophobie revendiquée en forçant des hippopotames à faire des demi pointes en tutu rose bonbon pendant que des techniciens de surface se cassent le cul à laver le sol.
Dumbo: Banalisation du harcèlement pratiqué sur personnes au physique différent ou hors norme. Le fait qu’il vole est probablement une métaphore pour évoquer une possible défenestration à la Mike Brant.
Bambi: Drame familial et torture psychologique consistant à forcer un enfant sans défense a assister au meurtre de sa mère par un chasseur probablement alcoolique de la Creuse. 15 ans de psychanalyse minimum.
Cendrillon: Description du harcèlement moral en milieu professionnel dans le secteur du nettoyage, viol qualifié sur chaussure qui a aucun moment n’a demandé à être enfilée.
Alice aux pays des merveilles: Remake de «moi Christiane F, 13 ans droguée et prostituée » avec des cupcakes, du thé et des chenilles qui fument la chicha. Pour le pays des merveilles, vous avez déjà eu un orgasme sous acides?
Peter Pan: Tentative de justification de la pédophilie par le refus de grandir et moqueries sur le handicap du capitaine crochet. Cruauté sur animaux en la personne du crocodile.
La belle et le clochard: Fantasme de la bourgeoise qui veut se faire salement culbuter par le bad boy du quartier. Le tout sponsorisé par Barilla.
La belle au bois dormant: Apologie de l’agression sexuelle avec utilisation de GHB ou autre stupéfiant tendant à profiter de l’impossibilité pour la victime de se défendre. Sponsorisé par Colgate.
Le livre de la jungle: Les conséquences de l’abandon d’enfant et des placements aléatoires en famille d’accueil non adaptée.
Les aristochats: Le quotidien d’une mère de famille célibataire expulsée de son logement et découvrant la délinquance afin de subvenir aux besoins de ses enfants déjà abandonnés par leur père à la naissance.
Merlin l’enchanteur: Dénonciation des abus dans le milieu de la fonction publique territoriale où il faut se mettre à 10 pour décoller une putain d’épée d’un putain de rocher.
Robin des bois: Insoumis déguisé en renard avec un chapeau à la con, qui veut partager les richesses de tous avec les plus pauvres mais qui a certainement une Porsche immatriculée au Luxembourg garée dans la forêt.
Les aventures de Winnie l’ourson: Apologie du chômage avec ce personnage qui nous explique comment s’assumer et être heureux quand on est gros et qu’on aime passer ses journées à se promener le cul a l’air avec ses potes branleurs en mangeant du miel.
Rox et Rouky: Encouragement à l’amitié inter communautés mais où on t’explique que au final Jean Xavier est fait pour être PDG et Mohammed pour galerer car « la nature reprend ses droits ». Tentative de justification éhontée de la fracture sociale.
La petite sirène: Illustration de la vie d’une pauvre conne prête à quitter son milieu, sa famille et ses amis (oui même polochon, connasse) pour suivre un fils de pute qui la larguera comme une merde plus tard malgré tous ses sacrifices.
La belle et la bête: Banalisation de la prostitution ou au mieux, du michetonnage, parce que si la bête était au RSA ben jamais la belle elle l’aurait calculé CETTE GROSSE CONNASSE PROVINCIALE. Scandaleux.
Le roi Lion: Comment avoir une santé mentale équilibrée après la mort de son père et quand on a failli être jeté dans le vide par un ami de la famille au cours d’une soirée manifestement trop alcoolisée.
Aladdin: Immersion dans le quotidien d’un mec qui galère à pecho une fille voilée (débat sur l’islamisme) et qui préfère se frotter à une pauvre lampe toute la journée.
Le bossu de Notre-Dame: Plaidoyer pour l’acceptation du physique différent (avant Ribéry). Mais que, au final, le mieux que tu peux espérer dans la vie c’est secouer des cloches ou Hélène Segara.
"Ca passait, c’était beau !" Edouard Bracame