Un album sans surprise avec une fin prévisible. Durango poursuit son chemin sans plus nous étonner. Le coté psychologique du personnage est très effacé, contrairement à ce que peut en dire Swolf en interview dans le dernier Casemate. Quelques pensées au drame qu'il vient de vivre, deux trois phrase semi-philosophiques et voilà.
Cela reste un album où cela canarde de partout et où l'ennemi est prévisible à souhait. Cela se lit bien, rapidement et cela détend.
Non, je parle de drame pour Durango dans le tome précédent.
Ça fait combien de temps au juste que Girod pompe Giraud ?
Il n'y a pas une case qui ne soit un déjà-vu de Blueberry, c'est incroyable ! Ce qu'on peut admettre pour un débutant devient franchement suspect pour un auteur confirmé. Je suis étonné que personne ne trouve cela choquant (à commencer par Giraud lui-même).
Bon, d'accord, il y a tout de même une différence : Girod, contrairement à son modèle, ne sait visiblement pas dessiner les mains. C'est assez drôle de voir la façon dont il essaie de les cacher dès qu'il le peut.
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