Lu aussi, très classique mais sympa.
Pour répondre à Arnaze, c’est forcément la « jeunesse » vu qu’il y tue son premier homme (je spoile rien, c’est dans le titre de l’album) dans une séquence que je trouve d’ailleurs pas des plus réussies en terme d’action et d’émotions (même s’il se questionne par la suite). La suite, on imagine déjà qu’il va fricoter avec la fille du patron et que ça va mal se passer, j’espère juste que ce sera un peu plus subtil que ça...
mais sinon comme je le disais, classique mais efficace, les amateurs de Durango devraient être contents. Au dessin, Surzhenko passe aisément des peaux de bêtes et épées aux jeans et aux colts, il se glisse sans peine dans les traces de Swolfs