


jolan a écrit:Eh c'est bien tentant ça, un nouveau Sorel qui lorgne vers le fantastique (je suppute)
Ca fait des lustres que je n'ai pas eu envie d'en ouvrir un d'ailleurs.
Je dois bien avouer que je n'ai rien lu de lui depuis Algernon Woodcock.
(Sinon, ça ne te dirait pas de t'appliquer un brin dans la rédaction des titres des topics que tu ouvres, que ce soit un peu lisible, élégant, et qu'on comprenne un peu de quoi il s'agit (entre les noms des auteurs ou des éditeurs en minuscule, les titres en majuscule, les tirets collés), ce serait fortement appréciable (ou qu'un modo améliore un peu les choses), merci)
Le long de la côte galloise, un village est la proie d'une série de crimes inexplicables. Le personnage central – amateur de littérature fantastique – fait progressivement la connaissance d'une étrange jeune fille alternant douceur et furie. Le finale se déroule dans une demeure envoûtante pourtant supposée avoir été ravagée par le feu. La jeune fille se vengerait-elle des villageois qui ont refusé de porter secours à ses parents ? Une captivante réflexion sur les techniques que la BD offre pour transmettre le sentiment de « peur » et les mises en scène possibles de cette dernière. Sorel rend hommage à Arthur Machen, un de ses romanciers favoris ; toute la campagne, les forêts qui entourent ce petit village portuaire maudit s'inspirent des textes de cet auteur gallois. Un projet de plus de vingt ans prend ainsi forme en regroupant toutes sortes de références et de réflexions sur la mise en scène de la peur !
Guillaume Sorrel est reconnu comme un maître du fantastique européen en illustration et bande dessinée, notamment admiré par ses confrères et le public pour sa mise en couleurs directes.
nexus4 a écrit:Le long de la côte galloise, un village est la proie d'une série de crimes inexplicables. Le personnage central – amateur de littérature fantastique – fait progressivement la connaissance d'une étrange jeune fille alternant douceur et furie. Le finale se déroule dans une demeure envoûtante pourtant supposée avoir été ravagée par le feu. La jeune fille se vengerait-elle des villageois qui ont refusé de porter secours à ses parents ? Une captivante réflexion sur les techniques que la BD offre pour transmettre le sentiment de « peur » et les mises en scène possibles de cette dernière. Sorel rend hommage à Arthur Machen, un de ses romanciers favoris ; toute la campagne, les forêts qui entourent ce petit village portuaire maudit s'inspirent des textes de cet auteur gallois. Un projet de plus de vingt ans prend ainsi forme en regroupant toutes sortes de références et de réflexions sur la mise en scène de la peur !
drabag a écrit:J'ai beaucoup perdu, mais là, j'aimerais bien que tu me signales les fautes d'orthographe du texte
Larousse a écrit:Final, finale n.m. = dernière partie d'une œuvre musicale. Peut s'écrire avec un l, sans e, ou avec un e (italien finale). Le final de la neuvième symphonie de Beethoven. « Il s'avançait théâtralement au milieu des tables en roulant quelque finale italien » (A. Daudet). - Plur. : des finals ou des finales.
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