drabag a écrit:J'ai beaucoup perdu, mais là, j'aimerais bien que tu me signales les fautes d'orthographe du texte
nexus4 a écrit:Le long de la côte galloise, un village est la proie d'une série de crimes inexplicables. Le personnage central – amateur de littérature fantastique – fait progressivement la connaissance d'une étrange jeune fille alternant douceur et furie. Le finale se déroule dans une demeure envoûtante pourtant supposée avoir été ravagée par le feu. La jeune fille se vengerait-elle des villageois qui ont refusé de porter secours à ses parents ? Une captivante réflexion sur les techniques que la BD offre pour transmettre le sentiment de « peur » et les mises en scène possibles de cette dernière. Sorel rend hommage à Arthur Machen, un de ses romanciers favoris ; toute la campagne, les forêts qui entourent ce petit village portuaire maudit s'inspirent des textes de cet auteur gallois. Un projet de plus de vingt ans prend ainsi forme en regroupant toutes sortes de références et de réflexions sur la mise en scène de la peur !
Guillaume Sorrel est reconnu comme un maître du fantastique européen en illustration et bande dessinée, notamment admiré par ses confrères et le public pour sa mise en couleurs directes.
La bonne formulation dépend du contexte, mais généralement on écrit « mise en couleur directe » au singulier.
Explication :
« Mise en couleur » est une locution figée utilisée dans les domaines artistiques, graphiques ou industriels pour désigner l'action de colorier, peindre ou teinter une surface.
L’adjectif « directe » vient qualifier cette mise en couleur (donc accord au féminin singulier).
Le pluriel « couleurs » serait utilisé si on voulait insister sur la diversité des teintes appliquées, mais dans l’usage courant et technique, c’est souvent « mise en couleur » qui est employé.
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