Eh bien voilà, ça vient
Si j'ai également ressenti quelques longueurs, le "virage pshychologique" et la fin ne m'ont par contre pas déroutée. Je les ai compris, peut-être à tort, comme une difficulté à se laisser aller totalement et donc comme l'expression de l'emprise de ce qu'est devenu l'adulte (avec la peur de lacher et de perdre ce qui lui convient et le rassure). Expression du surmoi ?
Quand à la fin, que je trouve très très bien amenée
il est "pris et tenu" par l'hypnose et ne pourra en sortir que quand il aura consenti à aborder le vrai problème
et j'apprécie qu'elle reste ouverte
on connait le traumatisme qu'il a vécu mais on ne sait pas si le fait de l'avoir identifié et exprimé va lui permettre d'arrêter ou non de fumer ni même s'il y a une réelle relation entre sa dépendance tabagique et le poids laissé par le fait de ne pas avoir parlé avec son père. On en reste à l'hypnose.