Gros dépoussiérage pour ce sujet qui m'avait fait sourire à l'époque , et c'est en lisant ceci :
que j'y ai repensé, la faim est tellement omniprésente dans l'histoire tout au long de l'album
(parfois même un peu trop

évidemment ici rien d'appétissant bien au contraire mais à force d'en parler et de se mettre à la
place du malheur de ces prisonniers de guerre, la faim est venue tout naturellement, un peu comme
quand on voit quelqu'un se gratter et que du coup on a des démangeaisons.
Bon album ceci-dit et j'espère bien que dans la suite ils pourront enfin se remplir la panse
