Dans Ghost kid, le personnage principal perd la vue à la suite d'un empoisonnement par de l'eau contaminée. Un jeune indien lui sert de guide

Nefertum a écrit:
toine74 a écrit:La méduse de Boum. Auto-fiction où l’héroïne va devoir apprendre à vivre avec "une méduse" (une tache qui grossit) dans l’œil et peu à peu perdre la vue. (dans la vraie vie, Boum a perdu la vision dans un seul œil). Très classique et touchant.
Vacom a écrit:toine74 a écrit:La méduse de Boum. Auto-fiction où l’héroïne va devoir apprendre à vivre avec "une méduse" (une tache qui grossit) dans l’œil et peu à peu perdre la vue. (dans la vraie vie, Boum a perdu la vision dans un seul œil). Très classique et touchant.
Très belle histoire en effet, qui aborde le thème de la perte de vision avec beaucoup de justesse (j’adore l’idée de la méduse !). Avec aussi une réflexion plus large sur la différence. J’ai bien aimé les textes « made in Québec ». Ça donne un petit côté exotique vu de chez nous, mais, en même temps, ça n’empêche pas d’adhérer à ce que Boum raconte.
Bonne pioche !
scuineld a écrit:Vacom a écrit:toine74 a écrit:La méduse de Boum. Auto-fiction où l’héroïne va devoir apprendre à vivre avec "une méduse" (une tache qui grossit) dans l’œil et peu à peu perdre la vue. (dans la vraie vie, Boum a perdu la vision dans un seul œil). Très classique et touchant.
Très belle histoire en effet, qui aborde le thème de la perte de vision avec beaucoup de justesse (j’adore l’idée de la méduse !). Avec aussi une réflexion plus large sur la différence. J’ai bien aimé les textes « made in Québec ». Ça donne un petit côté exotique vu de chez nous, mais, en même temps, ça n’empêche pas d’adhérer à ce que Boum raconte.
Bonne pioche !
Ah ben content qu’il t’ait plu. La prochaine fois qu’on se verra je m’installerai dans ton divan le temps de le lire...
Vacom a écrit:nexus4 a écrit:De quoi ? Le Geek n'est pas un boutonneux à lunettes qui mange des pizza dans le carton ?
(en en laissant une part à moisir)
On m'aurait menti ?![]()
Blague à part, le handicap est forcément un facteur d'isolement. Je m'en suis rendu compte quand je suis devenu malvoyant, et je ne pense pas qu'on puisse en prendre la pleine mesure sans y être confronté directement.
Un album qui aborde le sujet avec beaucoup de finesse :
Pouffy a écrit:nexus4 a écrit:De quoi ? Le Geek n'est pas un boutonneux à lunettes qui mange des pizza dans le carton ?
(en en laissant une part à moisir)
Etre geek dans les années 80... fallait courir vite à la récré. Aujourd'hui c'est devenu cool, à l'époque au mieux tu subissais mépris et moquerie, au pire tu tombais souvent dans l'escalier.
nexus4 a écrit:Vacom a écrit:nexus4 a écrit:De quoi ? Le Geek n'est pas un boutonneux à lunettes qui mange des pizza dans le carton ?
(en en laissant une part à moisir)
On m'aurait menti ?![]()
Blague à part, le handicap est forcément un facteur d'isolement. Je m'en suis rendu compte quand je suis devenu malvoyant, et je ne pense pas qu'on puisse en prendre la pleine mesure sans y être confronté directement.
Un album qui aborde le sujet avec beaucoup de finesse :
Une nouvelle BD sur la perte de la vue.
Mais cette fois-ci brutale, d'un instant à l'autre. Avec tout le travail d'acceptation, après le refus, le deuil et l'espoir, et toutes les putains de galères administrative, les petits pas qui vous font sortir du trou, les bidules technologiques, l'altruisme et la gentillesse, tout ces fragments sur lesquels s'appuyer.
nexus4 a écrit:Un bémol pour toi : à part quelques notes lumineuses concernant les flash back, les hallucinations et les projections dans un avenir possible, toutes les planches sont quasiment noires avec les personnages et quelque décors détourés au trait de couleur assez chaud mais également assez fin. La volonté d'immersion est louable mais rend la lecture difficile pour un malvoyant.
nexus4 a écrit:Je ne sais pas si tu pourras tenir 200 pages comme ça. Je ne sais pas exactement où tu en es, mais ca me semble difficile. En tout cas, si ca te fatigue physiquement, je ne suis pas sûr que ça en vaille la peine.
Née en 1880 dans l’Alabama, la petite Helen Keller devient aveugle et sourde à l’âge de dix-neuf mois, probablement des suites d’une méningite. Elle devient alors incapable de communiquer avec son entourage, si ce n’est avec quelques gestes maladroits. Sa vie va être bouleversée à l’âge de six ans quand ses parents engagent Annie Sullivan comme gouvernante. Annie Sullivan, alors âgée de 20 ans, vient de finir ses études à l’Institut pour aveugles Perkins. Elle-même mal voyante, elle a appris à enseigner la langue des signes dans cette institution précurseur. Elle va prendre en charge l’éducation de Helen Keller, et au fil des mois elle va réussir non seulement à établir un contact avec l’enfant, mais à lui apprendre le langage des signes, puis l’écriture. Les deux femmes resteront amie à vie.
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