Sympathique cette lecture, rafraîchissante, même.
Un peu comme dans
Où le regard..., le destin se joue du hasard pour provoquer les rencontres.
aux sommets, et avec une fin ouverte pleine d'espoir
Presque déçu que la révélation à la fin soit aussi explicite, mais elle est intimement liée à la "chute" de l'histoire.
nexus4 a écrit: plus tard, t'as du vaudou, très conradien.
On dirait le gars d'Inner City Blues, desssiné par Conrad.
Ah ouai, tu trouves ?
( Tiens, aussi: une impression de déjà vu avec l'accident
de
We are the night )
Personne ne t'y oblige.
Personne ne t'en empêche non plus.