ubr84 a écrit:J'ai beaucoup aimé les deux, mais pas lu le premier. Il va donc falloir que je me le procures pour compléter le voyage et que je relise tout parce que les liens visuels évidents m'ont échappés face à des lectures séparées de 2 ans
La post face de celui-ci écrite par l'auteur précise bien le projet et est assez raccord avec ce que dis Nexus ci-dessus.
Il cherche la sensation, l'éthéré, le sentiment.
Sur moi ça fonctionne bien
Bon, beeen, j'ai moi aussi réunis les trois bouquins (les deux premiers étant dans des bib différentes) et il me semble donc que j'avais bien lus les trois à deux ans d'intervalle entre eux.
Donc en effet, les trois albums sont reliés, même si le dernier (Bleu) semble être bien plus proche du premier Black Holes que de Nuit, car quasi l'entièreté de l' histoire se passe au XIX (ou XVIIIè) dans la famille dont il est question dans un passage du premier titre. Nexus nous a montré que le lien entre Nuit et Bleu est évident, mais le saut dans le futur est plus grand que l'actualité de Nuit et c'est assez difficile à interpréter, saut p-ê que le monde de NCL serait permanent. Rien n'indique que TBH et NCL ont lieu dans la même ville non plus. Les illustrations à l'arrière de TBH et BLJ (il n'y en a pas dans NCL) ajoutent des indices (même si celles de TBH ne renvoient en rien à BLJ - presque quatre ans entre ces deux-là), sans que cela ne nous éclaire plus.
Donc, le truc assez bizarre (du moins pas encore résolu), c'est que les mêmes prénoms reviennent aux avant-plans, sans qu'il y aie de similitudes physiques ou caractérielles entre leurs différentes "apparitions". Cristina, Gloria, Laura, Matilde sont là sur 2 des 3, mais seule Teresa revient dans les trois, bien que dans Black Holes, elle tient un rôle assez mineur (au XIXè). A noter que pour la première fois sur les trois bouquins, dans Bleu, on voit un homme (en fait un petit frère) et on parle des hommes, par contre il y manque la petite sœur Rosa (vue dans Black Holes).
Bref, j(attends le suivant
- en espérant que cela continue dans la même veine.
Mieux vaut tapis Persan volé que tapis volant percé (Uderzo.... et oui, pas Goscinny)