
LEAUTAUD a écrit:C'est donc décevant ?
Bon, je regarderai quand même histoire de me forger une opinion personnelle, mais à vous lire on apprendrait pas grand chose avec ce film ... dommage.

carbonnieux a écrit:Ce reportage est pathétique.
Un seul exemple : le journaliste évoque un BDM qui évoque les valeurs données aux planches des auteurs de BD en insistant sur le fait qu'il y est clairement écrit que rien n'est sur le marché. On voit alors l'acteur découper ce même article du BDM. Et quelques instants plus tard , pour minimiser l'impact de l'absence d'inventaire organisé par Jacobs lors de l'apport de son patrimoine dans sa fondation, on insiste sur le fait que tout cela "n'avait aucune valeur à l'époque"![]()
![]()
Mais quelle mauvaise foi crasse.![]()
J'avoue que ce qui m'a encore le plus touché dans ce reportage , c'est l'interview de Danielsansespace, ce collectionneur lyonnais qui se dévoile. Sa gentillesse et sa sincérité sont touchantes.



Cremildo a écrit:Moi qui suis plus lecteur que collectionneur et qui n'avais que vaguement entendu parler de cette affaire, je trouve cette série très intéressante. On finit quand même par apprendre le fin mot de l'histoire. Dommage pour E. Jacobs d'avoir fait le mauvais choix d'héritiers. Mais bon, après tout il n'est plus là pour être déçu.



carbonnieux a écrit:LEAUTAUD a écrit:C'est donc décevant ?
Bon, je regarderai quand même histoire de me forger une opinion personnelle, mais à vous lire on apprendrait pas grand chose avec ce film ... dommage.
A la limite le témoignage de Quittelier est amusant mais tu trouveras bien plus dans son bouquin de 2009.
Est-ce qu'elle sait seulement que son père avait revendu tous les originaux de Jacobs qui étaient au Bois des Pauvres au moment de son décès en 1987 ? Il y avait entre autre la couverture du Petit XXème offerte par Hergé , des cases découpées de planches et l'une ou l'autre illustration qui décoraient l'intérieur du défunt Baryton ?
Certes peu de chose comparé à ce qui était au coffre.
Ce reportage est pathétique.
Un seul exemple : le journaliste évoque un BDM qui évoque les valeurs données aux planches des auteurs de BD en insistant sur le fait qu'il y est clairement écrit que rien n'est sur le marché. On voit alors l'acteur découper ce même article du BDM. Et quelques instants plus tard , pour minimiser l'impact de l'absence d'inventaire organisé par Jacobs lors de l'apport de son patrimoine dans sa fondation, on insiste sur le fait que tout cela "n'avait aucune valeur à l'époque"![]()
![]()
Mais quelle mauvaise foi crasse.![]()
J'avoue que ce qui m'a encore le plus touché dans ce reportage , c'est l'interview de Danielsansespace, ce collectionneur lyonnais qui se dévoile. Sa gentillesse et sa sincérité sont touchantes.






Ça et "Black".mbouglion a écrit:une chose m'a gêné dans le téléfilm, la prononciation à l'anglaise du mot "damned" par l'un des deux héros, alors que je l'ai toujours entendu (dans ma tête) prononcer "damnède"...


Retourner vers Bande Dessinée Franco-Belge - Classiques - XXe siècle
Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 3 invités