Le Tapir a écrit:Perso j'ai été scotché de voir que l'intégrale Julie Wood n'est tirée qu'à 5000 exemplaires! Pour un ouvrage aussi capital c'est vraiment peu!!!
onehmouninehl a écrit:Par contre, au niveau des intégrales, on a :
8 000 ex. Simon du fleuve intégrale 1 Claude Auclair Lombard
5 000 ex. Simon du fleuve intégrale 2 Claude Auclair Lombard
Soit 3000 exemplaires de moins entre le 1 & le 2
C'est marrant, quand je fais un copier/coller à partir du rapport Ratier, j'ai un "1" qui se met devant les valeurs de tirages !!!!
onehmouninehl a écrit:Le Tapir a écrit:Perso j'ai été scotché de voir que l'intégrale Julie Wood n'est tirée qu'à 5000 exemplaires! Pour un ouvrage aussi capital c'est vraiment peu!!!
C'est quand même plus que Michel Vaillant (3000 par intégrale)
abrahamT a écrit:Quel travail de titan !!
Super intéressant à découvrir L' innovation dans BD continuera à passer par l' indé qui ne pèse pas bien lourd face au trois mastodontes ...
Le Tapir a écrit:Ben en fait, pour l'indé ça sent vraiment le sapin (il suffit, grâce au rapport Ratier 2015 de voir par exemple le nombre de nouveautés parues chez l'Asso, Cornélius ou bien Ca et là, Requins marteaux, Pastèque, ect en 2014 et 2015... Tous ces éditeurs que j'adoraient il y a quelques années, et que je continuerai d'aimer même s'ils sont devenus assez transparents, ce sont désormais des éditeurs moribonds, voir inexistants.
Le Tapir a écrit:j'estime que la Bd, c'est bien aussi de pouvoir en vivre! Alors si tous les gens qui font de la Bd indé sont condamnés à la faire bénévolement et à se faire chier dans un travail alimentaire à coté, c'est un peu triste! Moi j'aimerais que ça marche mieux, au sens du marché (et des ventes), d'où mon post précédent!
Xavier Guilbert a écrit:Le Tapir a écrit:j'estime que la Bd, c'est bien aussi de pouvoir en vivre! Alors si tous les gens qui font de la Bd indé sont condamnés à la faire bénévolement et à se faire chier dans un travail alimentaire à coté, c'est un peu triste! Moi j'aimerais que ça marche mieux, au sens du marché (et des ventes), d'où mon post précédent!
C'est là le point de désaccord important. Certaines personnes estiment que la véritable indépendance, la véritable liberté, se trouve justement dans le fait de ne pas dépendre du marché pour assurer sa subsistance. Et qui te dit qu'ils se font forcément "chier dans un travail alimentaire à côté"? On peut se réaliser sur plusieurs plans, avoir un travail où l'on se plait, tout en poursuivant par ailleurs une activité artistique ou autre. Au contraire, il est intéressant de se permettre justement d'avoir ce genre de projet où il n'y a aucune pression de résultat économique.
Je te renvoie à De la misère, publié il y a trente ans et toujours d'actualité.
marinacamille a écrit:Je crois que le lien posté initialement ne fonctionne plus.
Celui là oui (en tous cas aujourd'hui):
http://www.acbd.fr/wp-content/uploads/2016/01/Rapport-Ratier-ACBD-2015.pdf
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