À l'occasion de leur centenaire, les Éditions Dupuis font renaître les trésors les plus rares de leurs archives patrimoniales avec leur premières archives numériques du 9ème art en collaboration avec laCollection, partenaire technologique des plus grands musées, institutions culturelles et artistes dans le monde entier, dont le British Museum, le Museum of Fine Arts de Boston et l'Agence France-Presse.
À travers cette première collection d'archives numériques du 9ème art, les Éditions Dupuis reviennent aux origines de la bande dessinée. La technologie est l’unique clé qui ouvre au grand public les trésors de Dupuis, tout un patrimoine de couvertures, d’illustrations, de planches originales, de croquis et bien d’autres archives autrement rarement montrées au grand public. Des archives patrimoniales des personnages et auteurs les plus mythiques seront vendues au format numérique : Spirou et Jijé, Marsupilami et Batem, Boule & Bill et Roba, Lucky Luke et Morris, Michel Vaillant et Jean Graton, etc. Elles donneront par ailleurs accès, grâce au Web3, à des avantages exclusifs à vie, tels que des événements, des produits physiques, des réductions, etc.
L'ensemble des fonds récoltés sera consacré à la numérisation du fonds patrimonial de Dupuis et au soutien d’une association de jeunes créateurs, afin d'assurer la conservation de ce patrimoine historique, culturel et artistique inestimable.
Pour inaugurer ce nouveau partenariat et inviter les bédéphiles à découvrir la collection, des cartes digitales gratuites à l’effigie de Spirou seront disponibles sur lacollection.io jusqu'au 15 février.
Diddu a écrit:à ne pas confondre d'ailleurs avec Spirouge qui est son pendant soviétique !
Morvan a écrit: Bertrand et Christelle Pissavy-Yvernault, les co-auteurs de La véritable histoire de Spirou, m'avaient proposé d'écrire une biographie de Jean Doisy. Lorsque j'ai découvert un texte très touchant, dans lequel Doisy racontait avoir assisté à l'enterrement de deux jeunes résistants membres des AdS, j'ai aussitôt eu envie de raconter leur histoire. Mais il était évident pour moi que Jean Doisy devait y avoir sa place. J'ai essayé de comprendre le personnage, de deviner la culpabilité qui était la sienne, puisque les deux jeunes résistants décédés s'étaient inspirés du code des AdS pour rentrer dans la Résistance. Je pense, comme Doisy, qu'il est compliqué et pas forcément "éthique" d'impliquer des enfants dans des combats. Mais force est de constater qu'il faut parfois des gens qui s'engagent tôt, pour faire de grandes choses...
Peut-être pourront-ils compter pour cela sur l'aide inattendue d'une mystérieuse créature palombienne enlevée par les nazis, qui vient de faire son entrée à Marcinelle...
Ce qui serait bien surtout, ce serait que les auteurs, quels qu’ils soient, se montrent réellement créatifs au lieu de toujours recycler les mêmes choses et de polluer leurs histoires avec de faux sujets (genre le costume de Spirou ou les problématiques du Journal de Spirou). Leurs sources d’inspiration tournent toujours autour des mêmes choses et leur imagination est vraiment faible.
Ça fait une quinzaine d’années environ que la créativité a fortement baissé.
Et je ne parle pas de costume, de décors ou d’esthétique en général. Je parle de fond.
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Et aussi, arrêter de nous vendre le catalogue Dupuis dans chaque histoire.
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