Gaston68 a écrit:Viens de finir la BD il y a moins de 5 minutes. Je rajouterai au titre ...et on en reste sur le cul après la lecture. Je dois reconnaître que pour une fois -et quel heureux hasard- je n'ai absolument pas lu les dédicaces ou autres commentaires au début du livre, et suis partie de but en blanc sur la première page. Une fois commencé, je n'ai pas pu lâcher l'histoire. Même si que ne connais pas grand chose -ni personne- sur ce genre d'handicape, je me suis tout simplement laisser emporter et imprégner par le récit pour croire à 100% à l'histoire. La justesse des dialogues, la sincérité des situations et les dessins emprunts de fraîcheur, m'ont tout simplement bluffer et apporter une forme de sérénité.
Ce n'est qu'une fois fini que j'ai lu et compris dans quel contexte ce roman graphique a été souhaité, et que c'est grace à une immersion dans le lieu d'écrit que l'auteur a pu nous rendre ce récit à fleur de peau.
Pour ma part, à conseiller sans réserve.
Gaston68 a écrit:je me suis tout simplement laisser emporter et imprégner par le récit pour croire à 100% à l'histoire. La justesse des dialogues, la sincérité des situations et les dessins emprunts de fraîcheur, m'ont tout simplement bluffer et apporter une forme de sérénité.
nexus4 a écrit:Ce qui est super bien rendu, c'est le dosage d'ingéniosité, d'autodérision et de sacré têtes de cochons de ces enfants. On voit que Mikaël Ross a vraiment été à l'os pour faire un récit qui ne soit ni didactique, ni larmoyant.
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