Edhral a écrit:Là on arrive au même niveau de collectionnite que ceux qui conservent leurs jeux vidéo ou jouets "mint in box" c'est-à-dire jamais déballés. Je trouve ça triste : collectionner des trucs qu'on aime je suis pour, mais je veux en profiter : lire ou jouer avec (ou savoir que je peux le faire...), pas seulement les posséder et les ranger !
Perso, j'enlève les bandeaux pour les mettre pliés à l'intérieur de l'album ; et ça me sert de marque-page si besoin. Idem pour les autocollants promotionnels, je les décolle, je les recolle sur une feuille volante et je mets le bout de papier avec le sticker à l'intérieur. Je conserve le truc parce que ça m'amuse de voir comment l'album est marketé, mais avant tout je veux pouvoir profiter de la couverture telle que l'auteur l'a conçue, sans bandeau ou autocollant donc.
Quant aux ex-libris, je n'ai que deux albums avec ex-libris collés à l'intérieur, et pour le coup je n'ai pas cherché à les retirer, par peur d'abîmer la page et/ou l'ex-libris. Mais pour ceux que j'ai qui ne sont pas collés, je les ai retirés de l'album correspondant pour les mettre dans un lutin dédié. La correspondance est notée dans ma base BD Gest', ça me suffit, et je trouve qu'ils sont mieux mis en valeur dans le lutin.
chez moi, en général, l'autocollant valse à la poubelle , sauf s'il revêt un intérêt (la polémique de celui d'Undertaker, par ex), et il se retrouve collé sur la page de tire. Idem pour les feuillets publicitaire inséré dans l'album: poubelle. Je préfère le faire disparaitre de la couve, car si l'on attend trop, ils vieillissent mal et finissent par faire des dégâts
Idem pour bcp de bandeaux (>> poubelle) mais certains (en général, ceux qui ressortent un peu >> pas le truc de base bêtement en rouge) peuvent se trouver comme marque-page.
Mieux vaut tapis Persan volé que tapis volant percé (Uderzo.... et oui, pas Goscinny)