Le fait qu'il y ait beaucoup plus de catégories que pour Angougou rend la sélection nettement plus ouverte et représentative de la diversité de la production - et du lectorat - que par chez nous.
On peut noter des oeuvres saluées aussi chez nous, le Opération mort de Mizuki, le Bride stories, le chien guetteur d'étoiles ... et bon, Parker de Cooke, Unwritten, Criminal, Habibi, pas très différent de ce que l'on applaudi ici-même
Enfin bref, Renaud Dillies nommé deux fois, dont meilleur album, au côté de Habibi, et du One soul de Fawkes, rien que pour ça, je continuerai à prêter attention aux sélections des Eisner.