Virus - Ricard, Rica - Delcourt

[langoustator]

Message précédent :

[Révéler] Spoiler:

Hello tout le monde,

Je viens de terminer les 3 tomes de Virus de Ricard et Rica. Alors premièrement j'ai adoré .
Mais j'ai besoin d'éclaircissement sur les dernières pages de ce dernier tome.

Voici mes zones d'ombre :

Page 79-80-81 : Sur l'explosion du navire de la marine, il semble évident que le cuisinier (responsable de la mutinerie) meurt lors de cette explosion ainsi que tout les membre à bord (puisque le bateau coule clairement). Alors comment ce fait-il que l'officier Kwon et l'autre officier (qui a laisser pousser sa barbe, je n'ai plus son nom ) ne meurt pas ?

Page 103 à 110 : Il reste tout de même pas mal de zone d'ombre ici. Est-ce voulu par l'auteur ? Je m'explique.
Des flics ont l'air de vouloir mettre la main sur Guillaume Roblès, et il repère un homme habillé en femme avec une perruque. Ils réussissent à mettre la main sur lui. Et ils lui expliquent que si il ne fait pas d'histoire tout ira bien, sinon ce sera case -> prison française.
Alors déjà, est-ce vraiment Guillaume Roblès ? A aucun moment on ne le voit mettre une perruque et changer d'habille ... Ensuite que font-ils de lui ? D'autant plus qu'à la toute fin du tome Hervé qui vient d'être décorer de la légion d'honneur reçoit un sms avec une photo de Guillaume Roblès (qui a retrouvé ses vrais cheveux) avec ce texte : "Nous tenions à féliciter l'Etat français pour la qualité de formation de ses scientifiques qui permet un partage de connaissance ... viral " ?

Quelqu'un à une explication à cette fin un tant soit peu alambiqué ?

Pour l'explosion, ça m'a paru confus également, mais il semble que ce n'est pas le même bateau, (on voit bien le navire militaire s'éloigner du paquebot et les deux officiers regarder par le hublot).

Pour le sort de Guillaume, il s'agit certainement de services secrets d'un autre pays, ce qui continue à démontrer la médiocrité des services de l'état français.

[Sysy77]

Bonjour. Pourriez-vous mettre des balises SPOILER dans vos messages, SVP ?
Merci !

[Révéler] Spoiler:

Si vous ne savez pas comment faire, taper sans les "§" : [§spoiler§] avant la tirade concernée et [§/spoiler§] après celle-ci (ou bien le bouton "spoiler=" au dessus du message en cours d'écriture).

[satanpetitcoeur]

je n'aime pas du tout les dessins, je trouve les personnages vraiment mal dessinés. Ca m'a rendu la lecture pénible, eu du mal à arriver au bout du 2ème tome. J'arrête là, dommage.

[aloisio42]

Bonjour, combien de tomes sont prévus?

[langoustator]

Je pense que c'est fini en 3 tomes. Ca pourrait continuer, mais l'histoire principale est terminée.

[FredoK]

Ah, la pétanque… rien que d’en parler, on entend déjà chanter les cigales et rouler les boules sur la terre ocre ! Ce petit clin d’œil du Sud me rappelle ces fins d’après-midi passées entre amis, pastis à la main, le soleil encore haut et les rires qui s’enchaînent. Jouer en ligne, c’est bien, mais rien ne remplace la chaleur du vrai terrain, la poussière qui vole, et le cliquetis d’un carreau parfait.

Et pour parfaire l’ambiance, il y a toujours un accessoire qui fait la différence : le Bob Ricard Officiel. Bleu clair comme le ciel de Provence, il incarne à lui seul tout l’esprit du Sud : la convivialité, la bonne humeur et l’amour du Ricard. Sous ses larges bords, on trouve l’ombre idéale pour pointer avec précision, tirer sans éblouissement, et surtout… garder la tête au frais pendant les longues mènes sous le soleil.

Mais le style Ricard, ce n’est pas qu’une question de chapeau. C’est une vraie attitude, un état d’esprit à la fois décontracté et solaire. Certains préfèrent enfiler un T-shirt Ricard Original pour afficher leurs couleurs, d’autres optent pour une casquette Ricard jaune plus légère, parfaite pour les après-midis en bord de terrain. Dans tous les cas, c’est ce même goût pour la convivialité et l’élégance méridionale qui unit les passionnés.

Parce qu’au fond, la pétanque, ce n’est pas seulement un jeu : c’est un art de vivre. C’est la fraternité du rond tracé sur le sol, le soleil qui décline sur les oliviers, le bruit des verres qu’on repose sur la table. Et quand on a sur la tête le Bob Ricard, autour du cou le T-shirt assorti, et sur le visage ce sourire typiquement du Sud… on comprend qu’ici, la vie se savoure comme un bon pastis, lentement, sous le ciel bleu de Provence.