mallrat a écrit:Je trouve que le run partait bien... mais que Knull (sorte de perpetua en mieux) a tout cassé.. depuis c est long, lent et franchement les histoires de mal absolu.. faut vraiment bien les gérer et là j ai encore un numero de KIB a lire mais c est pas le cas.
KIB est vraiment trés normé comme toute histoire avec du mal ultime dedans... et le sauveur ou l elu qui passe..
Cates c est un peu ca.. j avais bien aimé ses doc strange, le début de Gog puis ca a tourné à vide.. du mal avec le début de Thor puis c est super depuis (mais en dessous de Aaron pour moi), Venom bon début puis bof, Thanos était bien.. Silver Surfer Black m est passé completement au dessus.. et God Country je suis partagé.. bien aimé le coté sur la vieillesse, alzheimer mais le coté SF/Fantastique était tellement cliché...
Bref moi perso, je suis plus Aaron ou Ewing (voire Ram V) que Cates.
Johns.. j ai adoré sa premiere série JSA (et pas Justice Society of America trés decevante), le départ de son GL était sympa ainsi que ses avengers, Son Hawkman est cool.. maisl là dernierement entre la JL et Doomsday Clock ou je ne sais quoi... il est trop ambitieux par rapport a ce qu il est capable de faire.
Je me faisais la réflexion que Cates dernièrement, il passe juste après des runs acclamés : Thor de Aaron, Hulk de Ewing... Même pas peur !
Mais oui, c'est plutôt juste ce que tu dis sur Knull/Perpetua. Bon, KiB, ça reste plus lisible, même si (et peut-être parce que) plus classique, mais oui.
Hâte de lire ce que vaut son "Crossover", pour me faire une idée de son travail en indé. J'étais passé complètement à côté de God Country, je vais peut-être me laisser tenter un jour.
Et à la réflexion, je classerais plus Cates du côté d'un Tom Taylor : assez inégal selon les séries, un certain côté iconoclaste (la mort des Inhumains et ses Guardians pour l'un, Injustice pour l'autre), mais avec un capital sympathie énorme et une certaine désinvolture dans l'écriture, une bonne dose de fun malgré tout.
Je pensais à la comparaison avec Geoff Johns pour le côté "c'est de l'entertainment solide". Solide dans le sens où les histoires sont bien ficelées, il n'y a pas vraiment de gouffre narratif ou d'erreur de caractérisation. Il y a des histoires bien, d'autres moins bien, mais j'ai assez peu le sentiment de fill-in comme je peux avoir avec Venditti par exemple, ou Tomasi.
Mais pour avoir lu hier le premier tome d'Immortal Hulk, oui, on est clairement pas dans la même catégorie qu'Ewing.