


Pour sauver sa fille d’un état dépressif permanent, un père a tout tenté. Tout… sauf l’amour ! Il cherche donc à la marier…
Avec son rythme enlevé, ses dialogues pleins d’esprit, ses personnages attachants, ses ressorts dramatiques et son dessin élégant, Tout sauf l’amour est une comédie sentimentale qui réjouie et donne le sourire, autant que celles que les Américains savent si bien faire au cinéma.
osé Alcano, neurologue, la trentaine qui fait tourner la tête aux filles, dirige une agence matrimoniale d’un genre nouveau. Révolutionnaire, même ! Mettant à profit ses connaissances, à l’aide de vidéos et de capteurs sensoriels, il mesure les réactions du système nerveux central des candidats, qu’il complète par des analyses sanguines hormonales.
En fait, il dissèque les mécanismes névrotiques et hormonaux de l’amour pour faciliter les rencontres !
Antoine de Beaumont, assureur, très riche et veuf, vit seul avec sa fille Nina, 26 ans, prof de mathématiques, qui souffre de neurasthénie — José la qualifiera d’ « anhédonique » ! — suite au décès tragique de sa mère quand elle était enfant. Antoine, qui adore sa fille, a tout tenté pour la sortir de son état pathologique : 13 psychanalystes ou psychothérapeutes, 4 comportementalistes, 2 magnétiseurs, voyages, cures, stages et sports en tout genre, il a tout tenté, tout… sauf l’amour.
C’est dans le cadre de son métier et dans des circonstances qui lui donnent l’avantage, qu’il a rencontré José et que l’idée, de lui confier sa fille, lui est venue. Il pense que c’est sa dernière chance et fait un chantage honteux auprès du jeune homme, afin qu’il accepte et surtout réussisse cette mission impossible : marier sa fille !
L’affaire, on s’en doute, ne sera pas de tout repos pour José. Quiproquos, chausse-trapes, rebuffades, les obstacles vont s’accumuler sur le chemin qui mènera Nina, peut-être, à trouver l’amour …