vacom a écrit:Tu l'as lu ?
Guy Georgou a écrit:On se croirait chez l'éditeur à la mode et branché du roman, les pas donnés bouquins de Gallmeister.
delacote a écrit:Guy Georgou a écrit:On se croirait chez l'éditeur à la mode et branché du roman, les pas donnés bouquins de Gallmeister.
J'ai lu "Sukkwan Island" à sa sortie et je continue de lire une bonne partie des parutions de Gallmeister.
Je suis libraire, et oui j'aime la littérature anglophone et notamment le roman noir mais aussi ce qu'on appelle le "nature writing".
Oliver Gallmeister (que j'ai eu la chance de rencontrer avec David Vann récemment lors d'une signature dans la librairie où je travaille) depuis qu'il a fondé sa maison d'édition propose un travail remarquable et cohérent, que ce soit en rééditant bon nombre d'ouvrages qui n'étaient plus disponibles (Bass, McDonald, Trevanian, McMurtry, Abbey...) qu'en proposant au lectorat français de découvrir Craig Johnson, Vann, Carlson, Weller, Mathis, Holbert...
Je ne vois pas en quoi c'est un éditeur "branché et à la mode" ???
Et les "pas donnés bouquins" c'est juste ridicule comme affirmation, si tu comparais avec n'importe quel autre éditeur proposant un roman traduit tu te rendrais compte que les prix sont identiques.
En ce qui concerne l'adaptation en BD j'y ai jeté un œil par curiosité, elle a l'air fidèle au livre dans son déroulement mais face aux nombres de sorties actuelles et au manque de temps dont je dispose je ne la lirais pas.
L'année de ses onze ans, "Fiston" a enfin le droit de tirer son premier cerf. Mais alors que son père l'invite à observer un braconnier dans le viseur de son arme, le garçon commet l'impensable et n'en ressent aucune honte. Un sombre récit est porté par l'enfant devenu adulte, qui a tout appris de la vie en apprenant la mort, au cours d'une initiation brutale et sauvage.
Automne 1978, nord de la Californie. C’est l’ouverture de la chasse sur les deux cent cinquante hectares du ranch de Goat Mountain où un garçon de onze ans, son père, son grand-père et un ami de la famille se retrouvent comme chaque année pour chasser.
À leur arrivée, les quatre hommes aperçoivent au loin un braconnier qu’ils observent à travers la lunette de leur fusil. Le père invite son fils à tenir l’arme et à venir regarder. Et l’irréparable se produit. De cet instant figé découle l’éternité : les instincts primitifs se mesurent aux conséquences à vie, les croyances universelles se heurtent aux résonances des tragédies. Et le parcours initiatique du jeune garçon, abandonné à ses instincts sauvages, se poursuivra pendant plusieurs jours, entre chasse au gibier et chasse à l’homme.
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