suicide et alcool et jeux dans la bd

[Corail]

Message précédent :
Elle ne choisit pas, Xof
C'est la maladie qui fait ce choix, Xof, pas la personne !

Quand la personne a franchi les stades de l'usage, du mésusage, et de l'addiction, et en arrive à la dépendance...
le cerveau ne sait plus fonctionner sans la substance.
Et au fur et à mesure des étapes, devenir abstinent est de plus en plus compliqué.
Possible, mais compliqué.


Voulez-vous tester votre niveau de dépendance à l'alcool ?
je vous propose un petit test... à faire ICI...

[toon's]

Bonjour,
Un huis clos où l'alcool débouche sur un suicide : Inès.
Beaucoup plus gai si l'on rajoute du sexe et des meurtres : Torpédo.

[xof 24]

Elle ne choisit pas, Xof
C'est la maladie qui fait ce choix, Xof, pas la personne !

Quand la personne a franchi les stades de l'usage, du mésusage, et de l'addiction, et en arrive à la dépendance...
le cerveau ne sait plus fonctionner sans la substance.
Et au fur et à mesure des étapes, devenir abstinent est de plus en plus compliqué.
Possible, mais compliqué.


Voulez-vous tester votre niveau de dépendance à l'alcool ?
je vous propose un petit test... à faire ICI...

Je ne partirais pas sur le sujet via un forum
Sinon pour info je suis à Indice 3.
Je sais que si je désirais choisir l'alcool comme moyen derivatif que je serais trés vite dépendant.Mais j'ai choisi justement de ne pas être dépendant.
La personne qui décide de foutre sa vie en l'air via l'alcool grand bien lui fasse.Par contre qu'il foute la vie des autres en l'air; désolé celà je ne l'accepte pas et je n'accepte pas que l'emmerdeur soit pris en pitié.

[edgarmint]

Pour madame, donc...



L'éditeur a écrit :

Voilà une courte histoire en bande dessinée qui a goût de mélancolie. La boîte qui donne son titre au livre est celle où l’héroïne range ses souvenirs ; les souvenirs de son ami aujourd’hui décédé. Est-ce autobiographique (comme pourrait le faire penser le prénom de l’héroïne et la sensibilité habituelle de l’éditeur à cet exercice) ? Peu importe, l’ambiance est là, fraîche et brumeuse, celle du vide au cœur que laisse la mort d’un proche tout en hantant l’esprit. Un spleen pas désespéré mais que l’on garde en filigrane au coin du crâne. Deuil, travail de la mémoire, certains en font des thèses universitaires complexes et démonstratives. Avec un dessin très simple, loin de la virtuosité qui confine parfois à l’esbroufe, Pauline Martin leur préfère la justesse des sentiments. Elle fouille le tas des souvenirs et nous en propose quelques bribes : rêves, phobies, regrets, la mort est là, incompréhensible et douloureuse, mais la vie poursuit son cours. C’est la facette vibrante d’une intimité qui nous est livrée dans ce petit et agréable format.

[gonnofdonc]

[arnaud]

à propos d'alcolisme, le cas de Prof Megot dans le Petit Spirou m'a l'air intéressant....

[Siune]

je sais pas si ça correspond mais j'ai pensé à ça :

[edgarmint]

Là, vous serez bien dans le match, tout du moins sur ce qui concerne le petit "1" de votre quête (et même deux pour le prix d'un puisque le "2" ne sera pas oublié) :

Étretat. Sur le balcon d’une chambre d’hôtel, un homme veille. Au bout de son regard : les falaises éclairées d’où s’est jetée sa mère vingt ans plus tôt. Le temps d’une nuit, le narrateur déroule le film de sa vie, cherche dans sa mémoire rétive les traces de sa mère disparue. Une question s’immisce peu à peu dans son esprit : comment suis-je encore en vie ?

[LeMoineFou]

Je ne sais pas si ce sujet est encore d'actualité, mais j'ai lu ça, récemment:

Série en deux tomes.
Par contre, c'est glauque...

[toine74]

Pas mal de propos sur les aléas de la dive bouteille chez Wazem :

[Corail]

Merci pour ces nouveauté

[rahoul]

[HAL9000]

En voici deux :

[Morti]

Question alcool, je suis surpris que personne n'ait pensé à Canardo...

[HAL9000]

Si, si, en page 2.

[HAL9000]

Sur l'alcoolisme, une série qui me tient à cœur :

[rahoul]

L' alcool

[rahoul]

[Révéler] Spoiler:

Je ne suis pas sur, mais je me demande jusqu'à quel point la phase d' acceptation de son destin par le héros, sur sa fin, ne relève pas du suicide, conditionné par la pression sociale.

[nexus4]

L’alcoolisme d’une mère. « L’histoire relate 20 ans de notre vie.
J’en suis le témoin et je raconte comment une famille heureuse devra renoncer à tout ce qui la construisait, perdre pied, devenir peu-à-peu une famille de cas sociaux. Je rends compte de l’évolution de chacun des membres de notre famille, pas seulement de celui de ma mère. Mon père qui s’est rapproché de nous par nécessité. Moi qui me suis endurcis pour me protéger. Mon frère qui, plus tard, deviendra un homme assumant ses responsabilités. Ma soeur qui n’aura connu notre mère qu’en état de dépendance, contrairement à mon frère et moi-même. Ma mère qui, je ne sais pourquoi, a lâché prise, le cerveau bouffé et le corps bouffi. Et puis les autres : les tantes, grand-mères, amis, commerçants, médecins, psychiatres, policiers, ceux qui faisaient souvent mine de ne rien voir, nous tournant le dos, nous jugeant, et ceux qui, parfois, nous comprenaient et nous aidaient.
J’ai écrit cela en n’épargnant personne, mais sans acharnement. S’il y a des jugements, il n’y a pas de morale. Chacun a sa part d’ombre et d’humanité. R.V.»

[Corail]

Merci pour vos contributions
une petite graine pour le 9ème art... devient une grappe, pour le cep de ce topic !

pile ce que je recherche ! merci !

[TILLIERTON]

Intersection des 3, j'en ai pas trouvé.
On s'en approche dans ce diptyque bien foutu, bien qu'il s'agisse d'un faux suicide. A lire, je le recommande