Torturées, noyées ou brûlées, les femmes accusées de sorcellerie, n'ont souvent eu pour seule malice que d'être trop puissantes ou trop libres, quand leur seul crime ne fut pas simplement d'être femmes.
Qui étaient les sorcières ? À travers le récit de « coupables » emblématiques - la guérisseuse, la paysanne, la magicienne, la femme âgée ou indépendante -, se révèle l'histoire d'une misogynie millénaire et d'un système patriarcal renforcé par l'émergence du capitalisme. Aujourd'hui, c'est pour se réapproprier leur puissance que des féministes réhabilitent ces figures émancipatrices.
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