silverfab a écrit:Ca plaira peut être pas aux fans de Blueberry ou Undertaker (sans même parler de ceux de Lucky Luke )
silverfab a écrit:Ca plaira peut être pas aux fans de Blueberry ou Undertaker (sans même parler de ceux de Lucky Luke )
Hugues Micol a écrit:La première BD dont j’ai été accro était Blueberry. Les Tuniques Bleues, je n’ai jamais pu. C’est cela que j’ai essayé de retrouver avec Scalp: ce que j’aime dans Blueberry, c’est que les mecs sont crados. Ils sont burinés. Ça sent le whisky, la poussière. On est dans le désert, au Mexique. Dans Scalp, je voulais qu’il y ait une sensation de crasse. J’ai beaucoup regardé Goya, notamment Les Désastres de la guerre. D’où le noir et blanc. Pour cet album, j’ai surtout utilisé de la gouache. C’est plus pâteux que l’encre. A partir du noir, on peut trouver plein de matières. J’ai plein de pinceaux tout pourris, que je taille moi-même. J’ai utilisé une brosse à dent pour faire les giclures de sang.
Aigle Solitaire a écrit:
Mais c'est vrai que le résultat en a tellement l'air éloigné que l'on se dit qu'il a bien digéré cette influence.
rahoul a écrit:... les problèmes de proportions ( " l'acromégalie " ) dans le dessin de Giraud...
silverfab a écrit:rahoul a écrit:... les problèmes de proportions ( " l'acromégalie " ) dans le dessin de Giraud...
C'est d'ailleurs un aspect qui m'a un peu fait tiquer au début. J'ai pas vraiment saisi la raison qui fait que Micol a fait des têtes énormes à pas mal de ses protagonistes (si ce n'est pour appuyer leur coté mauvais peut être?), faut un temps pour s'habituer.
chris24 a écrit:Je n'ai pas aimé la narration, j'ai trouvé ça ennuyeux et ai abandonné au tiers environ. Retour au libraire.
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