Nouvelle publication en français du galicien Santiago Bará, après son très joyeux
Misanthropie sévère.
32021 avant J.-C., Ardèche. Grdanta rejette les traditions stupides des hommes de son village et rêve de communion entre deux êtres, de besoin de l’autre, d’une vie spirituelle, éternelle, qu’elle appelle “amour”.
1817, Schöna. Caspar ne comprend pas ce sentiment constant de ne pas être à sa place, cette envie de s’échapper, cette sorte absence dans son corps… Pourtant, il a une famille et des amis qui l’aiment. Pourquoi n’est-il pas heureux ?
2020, Moaña. Deux vieux amis se retrouvent au hasard d’une promenade et se racontent les événements des dernières années de leurs vies. Elle rentre de Londres où elle a vécu de nombreuses années. Il vient de terminer une relation de plus de 12 ans. Comment se retrouver soi-même lorsqu’une partie de notre identité appartient au passé ?