-Je recherche un dessinateur pour un scénario de trois volume mêlant le policier, la science-fiction et le fantastique et d'autres scénarios qui sont en construction.
-Je recherche un dessinateur qui a un trait nerveux, colérique et qui sache jouer avec les ombres.
-Avoir le trait de MIGNOLA, MILLER, MOORE, SPEGIELMAN serait un plus...
-Tout ce que je demande, c'est de dessiner avec une palette graphiques qui va du noir au blanc, avec tout ses gris, avec quelques couleurs mais rarement.
-Je demande pas une maitrise total du noir et blanc, je demande un dessinateur qui sache faire du noir et blanc et des couleurs mais pas criarde.
-Pour la mise en page, je laisse la libre interpretation et d'imagination du dessinateur (grosseur des case, nombre de celle-ci...)
Mon univers est très violent et sombre
Je n'ai aucun code qui suit véritablement si ce n'est un peu de BUSHIDO et d'UKIYO-E mais pas plus.
Je demande juste un peu de culture sur les sabres japonais mais je suis pas exigeant pour un clou, bien au contraire, je laisse une vaste liberté de ton pour dessiner ceci.
Mon influence est Asimov mais je n'ai pas ces codes.
J'ai un style qui est, je pense et sans égocentrisme, nouveau car j'ai su remanier l'ancien pour faire du nouveau.
RESUME :
C'est un monde qui est proche de nous mais à la fois si éloigné du notre qu'il ne dépens que de nous pour s'en approcher...
Un monde de haine de violence et d'ignorence, où les consommateurs, on oubliait d'être humains...
Le monde est divisé en bloc est chacun s'espionne pour avoir ce que l'autre a...
Sans scrupules, ils recherchent des gens qui sont en manque de tout : Alcool, drogues, argent...
Tel est le cas du detective O'Connors. Alcoolique notoire, son appartement ressemble à s'y méprendre à un magasin de spiritueux...
Il travaille pour les services secrets depuis si longtemps qu'il n'est pas surpris de voir un agent lui proposer une nouvelle mission.
Pour le detective O'Connors, cela n'aurait du être qu'une banale mission de recolte d'informations...
Mais il va découvrir que le monde n'a pas qu'un visage humain...
UNIVERS :
On est dans un monde futuriste qui est proche du notre mais il est apocalyptique. La nature est dévastée, les humains exploitent les humains.
Tout est désorganisé et rien ne tourne comme on pourrait l'espérer. Ce monde n'a pas vu les voitures volantes ni une surpopulation mais plutôt un déclin.
La technologie sert les riches et dessert les pauvres. Les voitures roulent toujours sur le sol mais elles utilisent des produits chimiques qui sont hautement polluant. Les procès contre les industriels sont interdits par les lois.
La presse est scellée et sous l'emprise de ces industriels et des politiciens.
La médecine à su trouver un médicament qui utilise la génétique pour permettre de soigner toutes les maladies mais, premièrement, il est accessible qu'aux plus riches, deuxièmement, face à cette découverte, les industriel ont compris que cela ne seraient pas bon pour leurs affaires et ils se sont mis à inventer des maladies avec des vaccins qui sont peu voire pas efficace du tout.
La misère, la pauvreté, la mort sont omniprésente pour la majorité du monde et seule, une poignée de gens ont accès aux conforts et à la modernité.
EXTRAIT :
Thomas O'Connors :
Homme blanc. Il mesure 1 m 85, cheveux bruns, rarement coiffé, yeux bruns. Détective privé.
Toujours habillé de la même manière. Un jean, une chemise et sa veste. Il porte sur lui sa plaque, une arme plasma, deux fioles de médicament universel, des carnets de note, des cartes de visite, une flasque d'un mauvais whisky. Il est colérique, impatient, rarement raser sauf pour certaines missions qui exigent d'être bien vus, curieux, il n'a aucun scrupules pour soutirer des informations à ses sources.
MacCartie :
Ecossais et blanc, il mesure 1 m 95, une carrure d'agent secret, un cigare au coin de la bouche. Cheveux roux en brosse, les yeux gris. Un caractère trempé.
-Légende, dialogues, pensée, en rouge foncé.
#On est dans une salle qui est immonde, crade, on doit être mal à l’aise en voyant cette pièce.
Sur plusieurs cases, on voit un junkie qui va prendre sa dose :
#Il sort la came du sac.
#Il en met dans une cuillère.
#Il met son briquet sous la cuillère.
#De la vapeur se dégage de la cuillère.
#Il prend une seringue.
#Il fait monter le produit tout en tirant sur le piston.
#Il remonte sa manche et on voit que son bras est plein de trace de piqûre.
#Il s’injecte le produits.
#il est pris de spasmes avec en légende sur toutes les cases du junkie :
"Le job de détective est souvent sujet à de nombreuses questions dont celle-ci qui revient inlassablement :
"Pourquoi devenir détective ?" Pour le fric, diront certains, d’autre diront que c’est le coté voyeur et ils ont raison. Mais dans ce job, le voyeurisme est légal, pire qu’une drogue, c’est devenu un besoin, besoin qui se transforme comme une dose de coke, qui coule lentement dans les veines et qui procure l’extase, la jouissance pour un certain temps. Et comme toutes les drogues on devient addict jusqu’à l’overdose. C’est ce qui arriva à un certain Thomas O’Connors.
Voici son histoire."
1 planche n°5/149
#Pleine page où on voit un ghetto sous la pluie. Le quartier est sale, délabré. Les immeubles sont sur quatre étages voire six maximum. On ressent en voyant cette pleine page la misère. On peut voir au loin, un jardin qui est transformé en dépotoir.
1 planche n°6/149
#on suit un homme avec son point de vision qui sort d’un ascenseur qui est dégradé au maximum.
#Il marche dans un couloir qui tourne vers la gauche.
#Il se retrouve devant la porte du détective O’Connors qui est pleine.
#Bureau du détective, discussion entre les deux :
-Qui me dérange à pareil heure, je braille à plus soif.
-O’Connors, cesse de boire, ça va te jouer un mauvais tour, un de ces jours, parle le grand gaillard roux.
-Tu sais quelle heure, il est ? Il est…
-Quatre du mat, je sais mais tu dois nous connaître à force de travailler pour nous.
-Et c’est qui cette fois-ci ?
-Mlle Ashley. Dit-il calmement.
#Thomas se lève d’un bond.
#Il se rassoit et continue la discussion :
-Qui ???!!!!
-Ne fais pas l’idiot qui n’a rien entendu malgré tes quatre bouteilles de vodka que tu t’es enfilé.
-Puis-je savoir le pourquoi ?
-Tu es débiteur et non créditeur…
-En parlant de crédits…
-Viens à mon bureau, vautour.
#McCartie se retire.
#Thomas dort sur sa chaise avec sa bouteille dans une main.
1 planche n°7/149
Si vous voulez avoir le scénario, envoyez-moi un mail et je vous le fais parvenir.
Merci de toute votre attention.
