edgarmint a écrit:Les expressions "faux rythme" et "ce presque pas grand chose" sont très justes, concernant ce livre.
Ouaip.... on ne s'ennuie pas, mais c'est clair qu'il n'y a pas un cliffhanger en bas de chaque page
chris24 a écrit:Pas mal mais resté sur ma faim pour ma part.
Je trouve que ça ne va pas suffisamment au bout des choses. Ça survole rapidement des idées que j'aurais aimé voir plus développées au cours des discussions plus longues entre les personnages, en particulier la seconde partie du récit qui est à mon sens trop réduite par rapport à la première. Cela aurait gagné en réalisme encore. Le texte en guise d'épilogue avec ses questions et ses problématiques aurait justement eu intérêt à être intégré au récit surtout que les dialogues sont réussis et naturels, on aurait donc renforcé ces qualités en rentrant plus profondément dans le sujet.
Lecture agréable mais sensation de peut mieux faire en la refermant, dommage.
12/20
Effectivement, le première partie est ou bien trop longue - bien que je n'aie pas eu un tel sentiment (sauf p-ê pour la scène de l'accident) - mais la seconde aurait mérité plus de développements. On va dire au minimum une 20-aine de pages de plus sur ce mode de fonctionnement plus alternatif
simonradius a écrit:Je suis entièrement d'accord avec toi, la décroissance est un sujet super intéressant mais il est survolé, à peine effleuré du bout du doigt...
Même la dédicace de Loran des Béru est fade...C'est dire la déception !
Petit détail pour les auteurs, se servir du carburant et partir sans payer ce n'est pas une filouterie mais un vol de carburant...C'est un détail mais j'étais énervé en refermant l'album...
je n'ai même pas capté qu'on avait parlé de décroissance, c'est dire
Sinon, rien ne dit que le gusse n'avais pas payé par carte son carburant... j'ai rien contre lui, mais elle, c'est une petite conne donneuse de leçon à deux balles, même si sur le fond, elle n'a pas vraiment tort... En fait, moi, dans ce cas précis, je l'aurais sans doute laisser se débrouiller avec le gérant.
bon retour chez mon dealer (cela faisait un moment)
Mieux vaut tapis Persan volé que tapis volant percé (Uderzo.... et oui, pas Goscinny)