chardas a écrit:Le monde de Gaston.
Né dans les années 80, j'adore ce monde si proche pourtant si loin.
Pas de portable mais les cabines téléphoniques, pas d'ordinateurs mais des machines à écrire, pas d'open space mais des bureaux individuels ou presque, le grillage de clopes dans son bureau vissé sur sa chaise à l'aise ... Un temps révolu à jamais, objectivement beaucoup moins pratique au quotidien qu'aujourd'hui mais je le sens plus humain.
lobo a écrit:Le monde des Malheurs de Janice, là aussi, monde de clubs d'hommes élégants (et de pipes), pas étouffé non plus par le PC...
C'est une véritable auto-analyse à laquelle tu nous amènes avec ta question...
toine74 a écrit:chardas a écrit:Le monde de Gaston.
Né dans les années 80, j'adore ce monde si proche pourtant si loin.
.....
Gaston Lagaffe à été créé en 1957... Dans les années 80, Franquin ne dessinait, hélas, presque plus .
Morti a écrit: si on est d'un certain niveau social,
Croaa a écrit:Morti a écrit: si on est d'un certain niveau social,
C'est pas trop mal parti pour toi, m"O"rty.
biborax a écrit:le monde de manara
allez savoir pourquoi
Morti a écrit:J'aime beaucoup les mondes tranquilles, où l'on aimerait vivre...ça me fait rêver.
3 exemples différents :
1) le monde de Spirou (Champignac) ou de Tintin (Moulinsart).
Le charme de Champignac, petit village où tout le monde se connaît, où l'on vit encore selon les traditions, avec la place du village où l'on se retrouve pour boire un coup, le château du Comte, la campagne environnante où les animaux vivent heureux, loin du stress de la ville...le genre d'endroit où l'on aime rentrer chez soi le soir.
Moulinsart aussi mais un niveau en-dessous. On connaît peu le village à part le château mais l'environnement paraît serein, l'endroit calme où se ressourcer...bref là aussi il semble faire bon vivre.
2) le monde imaginaire total, Hallucinaville, la ville de Colombe Tiredaile et d'Olivier Rameau. La ville où tout est permis, où on s'habille comme on veut, où les animaux parlent, où les femmes sont jolies et les dirigeants complètement fous, où l'autorité est représentée par un phoque et où on a des champs de sucettes...quel pied... la liberté à l'état pur, aucune contrainte matérielle, on paie avec des bisous ou des pensées affectueuses...j'adore...
3) le monde futuriste : celui de Cyann, car il a été décrit très précisément par Bourgeon et on peut y croire.
Architecture grandiose, beaucoup d'eau, des jolies filles et si on est d'un certain niveau social, une vie de rêve dans un endroit idyllique...tentant même si on retombe vite dans les contraintes habituelles, où il y a une autorité présente et des classes sociales différentes...je tenterais bien le coup quand même...
chardas a écrit:Le monde de Gaston.
Né dans les années 80, j'adore ce monde si proche pourtant si loin.
Pas de portable mais les cabines téléphoniques, pas d'ordinateurs mais des machines à écrire, pas d'open space mais des bureaux individuels ou presque, le grillage de clopes dans son bureau vissé sur sa chaise à l'aise ... Un temps révolu à jamais, objectivement beaucoup moins pratique au quotidien qu'aujourd'hui mais je le sens plus humain.
Surtout ca doit être vraiment top de bosser dans les éditions Dupuis avec Gaston comme comme collègue de palier ! Tout les jours c'est n'importe quoi.
De ce monde de Franquin, très similaire au notre mais magnifié, il en sort une force tranquille et apaisante mais aussi profondément nostalgique que j'aime beaucoup.
Autrement dans un autre style j'adorerais me balader dans n'importe quel monde où les animaux parlent et se vêtissent.
D H T a écrit:Morti a écrit:J'aime beaucoup les mondes tranquilles, où l'on aimerait vivre...ça me fait rêver.
3 exemples différents :
1) le monde de Spirou (Champignac) ou de Tintin (Moulinsart).
Le charme de Champignac, petit village où tout le monde se connaît, où l'on vit encore selon les traditions, avec la place du village où l'on se retrouve pour boire un coup, le château du Comte, la campagne environnante où les animaux vivent heureux, loin du stress de la ville...le genre d'endroit où l'on aime rentrer chez soi le soir.
Moulinsart aussi mais un niveau en-dessous. On connaît peu le village à part le château mais l'environnement paraît serein, l'endroit calme où se ressourcer...bref là aussi il semble faire bon vivre.
C'est vrai, c'est calme. Si demain je pouvais m'offrir une de ces demeures, j'étudierais l'annonce immobilière avec attention et intérêt.2) le monde imaginaire total, Hallucinaville, la ville de Colombe Tiredaile et d'Olivier Rameau. La ville où tout est permis, où on s'habille comme on veut, où les animaux parlent, où les femmes sont jolies et les dirigeants complètement fous, où l'autorité est représentée par un phoque et où on a des champs de sucettes...quel pied... la liberté à l'état pur, aucune contrainte matérielle, on paie avec des bisous ou des pensées affectueuses...j'adore...
Là, pas sûr que ce soit un monde complètement imaginaire. Des jolies femmes on en a aussi dans notre monde, mais on les trouve généralement concentrées là où il y a de l'argent. C'est comme les mouches avec le miel.
Et les dirigeants de notre monde bien réel sont complètement fous, tout comme leurs politiques menées, raison pour laquelle le monde va si mal. Comme c'est eux qui ont l'argent, c'est aussi eux qui ont les femmes.3) le monde futuriste : celui de Cyann, car il a été décrit très précisément par Bourgeon et on peut y croire.
Architecture grandiose, beaucoup d'eau, des jolies filles et si on est d'un certain niveau social, une vie de rêve dans un endroit idyllique...tentant même si on retombe vite dans les contraintes habituelles, où il y a une autorité présente et des classes sociales différentes...je tenterais bien le coup quand même...
D'accord mais pourquoi vouloir réserver une belle vie à un certain niveau social? Ce que tu souhaites de bon pour certains, je le souhaite pour tous (et pour chacun, surtout).
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