
Edward Newgate a écrit:Fini aujourd'hui, c'était formidable. Ça m'a donné envie de lire leur Supergirl.
ça fait plaisir de lire ça


cedd79 a écrit:Bref, voici une espèce d'introduction à une histoire qui n'existe pas. Très décevant.



Brian Addav a écrit:Tiens, c'est justement tout ce que j'ai adoré dans cette bd, toutes ces histoires qui ne nous sont pas racontées, toutes ces portes ouvertes qu'on doit remplir avec notre imaginaire. Gamin j'aurais adoré encore plus.

cedd79 a écrit:[Révéler] Spoiler:que notre héroïne n'accomplit quasiment rien. Elle passe un long moment à déprimer et à picoler. Et le seul truc qui lui permet d'aller mieux, c'est de trucider tout ce qui bouge, sans véritable objectif à part celui de suivre son grand-père (qui lui non plus n'a pas vraiment d'autre but que de massacrer tout ce qui bouge). Et c'est un peu tout ce qui leur arrive. Mouais bof...
Dommage pour moi !


patoleon a écrit:Il me faut défendre ce titre car je fait partie de ceux qui ont adoré "Helen of WyndHorn" sur tous ses aspects. Mon interprétation est très différente de la vôtre me semble-t'il. La force du récit est, à mon avis, qu'il a plusieurs niveaux de lecture (d’où les différents ressentis) et que toute l'histoire est sujette à caution. Les bande-dessinées ou on peut lire entre les lignes ; personnellement c'est mon kiff !
Mon explication (osé ? évidente ? ou complètement à la ramasse ?) :[Révéler] Spoiler:Pour moi, l'histoire n'a ni sens, ni réalité au sens narratif (c'est un mensonge raconté à postériori par Helene). C'est plus le récit fictif d'une tentative de reconstruction après un trauma qu'une histoire. Helene dans mon interprétation projette l'histoire (plutôt les histoires) fantasmée de son père (qui l'a abandonné finalement) sur son grand père. Dans la réalité, je suppute même que le grand père est toujours absent et ne s’intéresse pas à elle. On pourrait aussi penser que la narratrice (la gouvernante) et Helene, sont en fait la même personne ; y'a pas mal d'indices dans ce sens (les cheveux opportunément blanc, l’amitié inconditionnelle entre elles, elle fume maintenant ?). La BD pourrait être une métaphore sur la dualité entre le fantasme (Helene) et la réalité (la gouvernante), dont la résolution finale serait la narratrice actuelle qui, me semble t'il, a surmonté son trauma, et est une fusion des deux. Donc l'histoire se finit bien... et c'est normal que le récit comporte des trous puisque ce n'est qu'un récit fictif (dans sa propre logique narrative évidemment). C'est un chef d’œuvre à tous les niveaux (ça n'engage que moi).






cedd79 a écrit:Ah putain ! Vous êtes chiants ! Va falloir que je relise tout ce bouquin !!!

Casou a écrit:cedd79 a écrit:Ah putain ! Vous êtes chiants ! Va falloir que je relise tout ce bouquin !!!
Bon courage alors.



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