Ce qui me fait rire c'est que si on y pense, le "préfaceur" ne peut avoir eu l'album finit entre les mains qu'une fois sa préface faite, forcément...
c'est rigolo cette remarque : les planches existent avant que les albums soient imprimés, non ?
sinon comment se fait-il qu'on reçoive parfois les "bonnes feuilles" bien avant l'album imprimé, pour en faire une chronique par exemple ?
dans cette version, parfois l'album n'est pas colorisé, il peut rester des marques de relecture/correction de texte mais ça ne doit pas être un frein pour rédiger une préface, non ?
Mais comme tu dis, me trompe peut-être aussi...