Dans le parcours de Pollock, il existe cependant un élément qui autorise un récit à la frontière de la fiction. Dès 1948, en pleine guerre froide, la CIA a voulu lutter contre l'attrait exercé par le bloc soviétique sur les artistes et les intellectuels occidentaux.
Jackson Pollock a été choisi, à son insu, comme la figure idéale pour incarner cette stratégie, celle d'un homme farouche et incontrôlable, propre à favoriser l'éclosion d'une nouvelle culture made in USA.
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