thyuig a écrit:
Je me le remets ce matin pour la peine.
A sa sortie il m'avait nettement moins plu que son prédécesseur Music is my home. Mais en fait j'aime assez ce format jazz/chanson traditionnelle. Et Imbert est encore et toujours un sax très puissant. C'est marrant ce grand écart avec ses contemporains français. Par exemple j'adore Emile Parisien, lequel lorgne beaucoup plus vers le côté impro européen, mais avec une douceur de son peu commune. Imbert c'est l'opposé, c'est nourri au Rollins, Sun Ra et Coltrane. C'est pour ça que ce disque est assez intéressant, il trouve des formes plus mélodiques, plus douces, moins dans la confrontation.