NOW LISTENING XL King size !!!

de **Croaa** » 23/02/2016 10:21

Message précédent :

de **Croaa** » 23/02/2016 15:26

de **Croaa** » 23/02/2016 16:20

de **Torelli** » 23/02/2016 18:17

wired.jpg

de **Croaa** » 24/02/2016 09:06

de **Rebecca Doppelmeyer** » 24/02/2016 12:29

The Slits - Cut

de **Croaa** » 24/02/2016 15:55

de **toine74** » 24/02/2016 16:01

excellent.

de **logan1973** » 24/02/2016 16:08

de **thyuig** » 24/02/2016 16:27

Toujours la même émotion à l'écoute de ce disque. Il y a quelques plages où je me prends à regarder dans le vide, le ventre noué.

de **Mr Degryse** » 24/02/2016 16:40

Tiens Thuig, il me semble que tu aimes Lucinda Williams. Tu as réussi à écouter son dernier doublealbum ( un seul titre disponible sur deezer)? Si oui, bien?

de **Mr Degryse** » 24/02/2016 16:42

de **thyuig** » 24/02/2016 17:45

Mr Degryse a écrit:Tiens Thuig, il me semble que tu aimes Lucinda Williams. Tu as réussi à écouter son dernier doublealbum ( un seul titre disponible sur deezer)? Si oui, bien?

tu parles du live ?
Pas encore écouté, c'est prévu dans les achats de mars !

de **Mr Degryse** » 24/02/2016 18:18

Je parle de ce disque sorti il y a peu ( 15 jours je crois en France) mais je ne crois pas qu'il s'agisse d'un live

Même Telerama s'est fendu d'une critique ( ffff)

Star discrète de la musique américaine, Lucinda Williams maintient obstinément le même cap, c'est sans doute pour ça qu'on lui voue un attachement indéfectible. Depuis ses premiers concerts en 1974, dans les bars d'Austin, d'où le fantôme de Gram Parsons venait à peine de s'envoler, la chanteuse de Louisiane joue un folk-rock en clair-obscur que sa voix écorche avec grâce. Ses chansons charrient les eaux noires de l'Amérique des campagnes et des villes oubliées, vieilles légendes et chagrins éternels, rengaines aussi troubles, puissantes et faussement paisibles que les eaux du Mississippi. Avant même que l'on commence à utiliser partout le terme « americana », son répertoire déterrait les racines les plus profondes de terres où blues et country se sont enchevêtrés comme des herbes folles. A 63 ans, elle continue sa route en revisitant celle de son enfance, la Highway 20, qui traverse le Texas, la Louisiane et le Mississippi et laisse sur le bas-côté les fantômes d'une multitude de vies échouées. Elle l'a parcourue dans le sillage d'un père lettré qui l'emmenait chez Flannery O'Connor et lui a donné le goût d'une écriture intense et dépouillée. Elle y a bâti sa carrière, de concert en concert, et y revient en quatorze chansons, dans une brume cotonneuse où flottent les guitares magnifiques de Bill Frisell et Greg Leisz. De son poète de père, récemment disparu, Lucinda Williams tient la conviction que l'écriture se fortifie avec les années, les échecs, les deuils et les cicatrices. Mélancolique, orageux, extatique, The Ghosts of Highway 20, où elle adapte Springsteen (Factory), Woody Guthrie (House of Earth, complainte d'une fille de joie) et le gospel à la manière des Staple Singers (les treize minutes envoûtantes de Faith and grace), est un de ses plus beaux albums.

de **thyuig** » 24/02/2016 20:31

Ah ben oui, t'as raison, j'avais lu une critique en biais et j'avais bêtement pensé qu'il s'agissait du live de sa dernière tournée.
Bon, ça change rien, au contraire ! :-D

de **edgarmint** » 24/02/2016 20:55

Merci pour la découverte, je viens d'écouter des extraits, ça me plait bien.

de **edgarmint** » 24/02/2016 21:32

Je reviens à ma lubie du moment

de **thyuig** » 24/02/2016 21:37

edgarmint a écrit:Merci pour la découverte, je viens d'écouter des extraits, ça me plait bien.

Beaucoup plus FM, Car wheels on a gravel road est un album parfait. Il faut vraiment passer l'écueil du son trop FM pour l'oreille peu habituée, mais quel disque, une tuerie sur 13 titres. Un album de bagnole, de vacances, mais aussi qu'on écoute au casque dans les transports en commun, le visage collé à la vitre, les images du Sud poisseux en tête ! :-D