toine74 a écrit:Pourtant Jan Kounen est de la partie. Qu'est-ce qui pourrait ne pas aller ?
Bin pour une fois, si le film est soporifique ce sera synonyme d’adaptation réussis.
toine74 a écrit:Pourtant Jan Kounen est de la partie. Qu'est-ce qui pourrait ne pas aller ?
Pathé Film a écrit:Le tournage de NATACHA de Noémie Saglio a démarré !
Un film librement inspiré de la bande-dessinée “Natacha, hôtesse de l'air” créée par François Walthéry et publiée aux
Editions Dupuis
.
Au cinéma le 2 avril 2025 !
Pathé Film a écrit:Le tournage de NATACHA de Noémie Saglio a démarré !
Un film librement inspiré de la bande-dessinée “Natacha, hôtesse de l'air” créée par François Walthéry et publiée aux
Editions Dupuis
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Au cinéma le 2 avril 2025 !
han_solo a écrit:Pathé Film a écrit:Le tournage de NATACHA de Noémie Saglio a démarré !
Un film librement inspiré de la bande-dessinée “Natacha, hôtesse de l'air” créée par François Walthéry et publiée aux
Editions Dupuis
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Au cinéma le 2 avril 2025 !
AUCUNE info sur le scénariste ou le réal ...
Quel tristesse.
Je pressens un nouveau désastre à la Spirou ou Gaston ...
logan1973 a écrit:han_solo a écrit:Pathé Film a écrit:Le tournage de NATACHA de Noémie Saglio a démarré !
Un film librement inspiré de la bande-dessinée “Natacha, hôtesse de l'air” créée par François Walthéry et publiée aux
Editions Dupuis
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Au cinéma le 2 avril 2025 !
AUCUNE info sur le scénariste ou le réal ...
Quel tristesse.
Je pressens un nouveau désastre à la Spirou ou Gaston ...
La réalisatrice suffit de lire le message que tu as cité pour avoir le nom, pour le scénario visiblement ce serait Noémie Saglio et Laurent Turner.
ubr84 a écrit:Il y a ça aussi, qui m'a l'air assez réjouissant
nexus4 a écrit:Pathé Film a écrit:Le tournage de NATACHA de Noémie Saglio a démarré !
Un film librement inspiré de la bande-dessinée “Natacha, hôtesse de l'air” créée par François Walthéry et publiée aux
Editions Dupuis
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Au cinéma le 2 avril 2025 !
Avec un fort investissement personnel, un soutien sans faille de sa communauté de fans et de son éditeur, le projet voit le jour au bout de 5 ans. Il s’entoure d’une équipe en or, devenue famille au fil des tournages. Une aventure fascinante et débrouillarde qui mérite toute votre attention !
JIM à propos de, cette aventure dans l'aventure :
J’ai toujours été attiré par le 7e art. A 20 ans, je réalisais déjà des courts-métrages. Mes BD, souvent, étaient des envies de films. C’est aussi pour cela qu’elles ont souvent intéressé le cinéma. Belle Enfant est un film qui a vu le jour en réaction à d’autres films qui ne se sont pas faits, de projets dilués en énergie, en réécritures, en castings… Celui-là, je me suis lancé sans rien lâcher.
Une production hors système?
Nous avions un tout petit budget. C’était la théorie des petits pas ! Au départ on tournait quand des sous arrivaient, trois jours ici, trois jours là. Mais sans savoir si nous arriverions à finir le film, s’il y aurait une sortie en salles… Le Covid n’a pas aidé, mais on a réussi à passer entre les gouttes. L’idée - ce que je répétais sans arrêt, comme un mantra pour nous motiver, est que si nous faisions du bon boulot, nous irions au bout du film. Côté BD, je dois beaucoup à mes lecteurs BD qui suivaient le projet, et investissaient dedans en achetant des illustrations que je dessinais. Sans lecteurs, pas de film ! C’était une période assez dingue en vrai, car entre les sessions de tournage, je dessinais énormément pour financer les techniciens, les acteurs, la location de matériel, la nourriture, les trains… Je crois que jamais un film ne s’est fait comme ça (rires). Plusieurs galeries vendaient des planches de mes BD, sans oublier mon éditeur, Bamboo, qui a toujours cru en ce film. Puis au bout de deux ans, emballés par les images tournées, les producteurs Octopolis et Mia Film ont rejoint l’aventure, ce qui nous a permis de terminer le tournage !
Avec un tournage atypique
Cette fois, j’ai écrit et décidé de tourner rapidement. Nous avons fait d’abord un test pendant deux jours avec Marine et une équipe réduite. Tout le monde a été emballé. Nous sommes donc repartis en tournage deux mois après, avec cette fois les 3 « sœurs » du film. On avançait ainsi par petits bouts : une manière de faire complètement atypique mais qui nous permettait de préparer à fond 3 ou 4 jours de tournage pendant des mois. Tout était calé pour le Jour J. Nous n’aurions pas pu nous permettre une telle préparation sur un tournage « normal ».
Le résultat est plus qu’appétissant et pourrait devenir la petite comédie de l’été tant les acteurs et l’histoire nous touchent et nous embarquent avec en toile de fond une Italie solaire et généreuse. Ce jeu des contrastes, Jim le distille tout au long du film avec des personnages forts, attachants, abimés, perdus qui se rencontrent, s’évitent, se déchirent… Jim dépeint la difficulté à se parler en famille et d’exprimer ses sentiments. Une authenticité dans les dialogues et les attitudes rendue possible par le développement de l’histoire des personnages avant l’histoire elle-même. Un procédé qui porte ses fruits et apporte une puissance et une profondeur dans cette comédie familiale atypique.
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