[PREVIEW] Mètre des caraïbes - Lupano, Chemineau - Dargaud

[rvrdelc]

LA PREVIEW !!!



Février 1794, mer des Caraïbes. Envoyé par le gouvernement révolutionnaire pour rencontrer le président américain Thomas Jefferson, le savant Joseph Dombey est capturé à bord du bateau pirate Le Fieffé Coquin. Il transporte avec lui une mallette qui contient des instruments révolutionnaires : le mètre décimal, un cube pour mesurer le litre et un cylindre d'un kilogramme.

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17 octobre

[drabag]

Fanion !

[rahoul]

Théodolite.

[drabag]

T'es gentil, c'est pas toi que j'ai traité de fanion, alors tu me traites pas, d'accord ?!
Théodolite, et pis quoi encore ?
Pauvre tachéomètre, va !

[fanche]

Ils vont se calmer les sémaphores?

[rahoul]

J'espérais que dans ce sujet, on aurait le sens de la mesure.

[Cooltrane]

Après la BiblioMule, le mètre étalon

[Julien Despreux]

Le Mètre des Caraïbes - Wilfrid Lupano | Léonard Chemineau - Dargaud

Février 1794, en pleine mer des Caraïbes, Louis, canonnier du bateau pirate Le Fieffé Coquin, vise toujours juste ! Mais cette fois, la recette est maigre : vin, pommes, pruneaux et … un savant.

Un savant français qui plus est : Joseph Dombey. Envoyé par le gouvernement révolutionnaire pour rencontrer le président américain Thomas Jefferson, il transporte une mystérieuse mallette qui intrigue les terribles pirates – pas si terribles que ça, pour être honnête ; plutôt une communauté adepte de chorale … À l’ouverture : une étrange barre graduée, un contenant cubique et un drôle de cylindre, faits dans un métal sans valeur.

Pour les pirates, c’est forcément une arme secrète.

Devant « l’élite intellectuelle » des pirates de Cocagna, Dombey dévoile le fleuron de la technologie française, l’instrument révolutionnaire : le mètre décimal ! Sans oublier le cube de dix centimètres de côté pour mesurer le litre, ni, enfin, le cylindre en cuivre d’un kilogramme. Chacun pourra ainsi tout mesurer, peser, quantifier … Ce à quoi les pirates répondent « Ni Dieu, ni maître, ni mètre ! ». Dombey parviendra-t-il à échapper à ces réfractaires au « progrès » pour mener à bien sa mission ?

Ce sens irrésistible de la formule est bien évidemment celui de Wilfrid Lupano, entre autres scénariste des Vieux Fourneaux. Ses dialogues truculents sont mis en images par le formidable Léonard Chemineau : le duo de La Bibliomule de Cordoue est donc à nouveau réuni, et son talent pour mêler fable humoristique et chronique historique ne s’est pas émoussé !

[ubr84]

Octobre va être violent

[Spike_Spiegel]

Je découvre aujourd'hui le projet, ça pourrait me plaire. Et effectivement le mois d'octobre est dingue, j'ai déjà fait mon choix pour le jour j et choisi d'autres pour Noël.

[Cooltrane]

la preview

https://www.bdgest.com/preview-4516-BD- ... mplet.html

[bone]

LA PREVIEW !!!



Février 1794, mer des Caraïbes. Envoyé par le gouvernement révolutionnaire pour rencontrer le président américain Thomas Jefferson, le savant Joseph Dombey est capturé à bord du bateau pirate Le Fieffé Coquin. Il transporte avec lui une mallette qui contient des instruments révolutionnaires : le mètre décimal, un cube pour mesurer le litre et un cylindre d'un kilogramme.

[benDcape]

original

[Nirm]

C'est drole, rythmé, brillamment dialogué.
On retrouve la verve et le sens critique de Lupano et la mise en scène enlevée et le trait tres juste de Chemineau.
Alors certes, tout le monde ne va pas aimer mais je trouve que l'idée est bien trouvée et la réalisation parfaitement maîtrisée.
Comme pour la Bibliomule, on se marre en apprenant des choses (qui vont souvent à l'encontre de ce que l'on sait ou croit) et les auteurs délivrent leur message avec intelligence.
Et puis, il fallait le trouver ce Dombey !

[Cooltrane]

J'en suis au 1/3 est c'est bien mené et très drôle.

Hâte de rentrer chez moi pour continuer.

Edit: c'est souvent jubilatoire , même si la fin est un peu anti-climax

Ce sera très probablement dans mon top 5 de l'année (assez pauvre année pour le moment)

[Johnny Fletcher]

Je viens de lire l'album à mon tour et je partage l'avis de Nirm et Cooltrane.
A la fois drôle et enlevé, ce fut un délicieux moment de lecture.
En dehors d'un scénario et d'un dessin de qualité, j'ai beaucoup aimé la mise en couleur de Christophe Bouchard.

[ulys]

J’avoue être rebuté par le dessin

[Johnny Fletcher]

J’avoue être rebuté par le dessin

Je comprends parfaitement que si le dessin ne te plaît pas, c'est compliqué de transiger avec cette donnée. Le dessin est une question de séduction et comme toi je ne peux pas lire un album dont le graphisme me déplaît.
Pour le coup j'aime bien le trait de Chemineau, accompagné des couleurs de Bouchard. Je le trouve expressif.

[DixSept]

La chronique de Le mètre des caraïbes est ici...

[Pouffy]

Pour des raisons que j'ai du mal à expliquer, l'album ne fonctionne pas... Comme s'ls avaient repris une bonne recette et forcer sur le dosage. Graphiquement je n'ai pas aimé, c'est parfois trop chargé, bizarrement foutu, les monochromes sont inappropriés. Il n'y a pas vraiment d'histoire. Ca part d'une anecdote et ensuite c'est linéaire... au fil de la lecture on n'attend jamais rien. Reste de quelques dialogues truculents qui ne fonctionnent là encore pas toujours. Les blagues sur les unités de mesure sont répétitives... reste des situation volontairement ubuesques rappelant le Baron de Münchhausen. Il n'y a bien que les poulets de montagne qui m'ont amusé.