...rempli de visions folles et dérangeantes, où DeForge traite de ses obsessions (principalement, mais pas uniquement, le corps et ses fonctions) et arrive à toucher l’essence même des choses dont sont faits les cauchemars. Avec un humour très noir et une ironie piquante, DeForge s’amuse des faux-semblants, titille là où ça fait mal, tout en jonglant avec ses influences, de Jack Kirby à Kazuo Umezu, de l’autobio aux récits de super héros, du manga à l’underground US...
De la musique toute aussi conceptuelle/barrée pour aller avec par ici:
http://bobd.over-blog.com/2014/04/rien-a-perdre-lose-vs-smear.html