logan1973 a écrit:Même si les faits du moment laissent à penser que c'est improbable, quand les instituts de sondage font des projections sur les duels possibles au second tour ils incluent le président sortant. et je suis sur qu'en 2000 en voyant des sondages avec Le Pen sur le second tour des présidentielles tu te disais aussi que ça n'arriverais jamais
nexus4 a écrit:Équivalence lexicale : il n'y a plus de patrons, il y a des entrepreneurs.
Autant tu peux lutter contre un patron, autant on va pas empêcher quelqu'un d'entreprendre.
Et puis va trouver un truc péchu à mettre sur une pancarte de manif avec "Entrepreneur".
nexus4 a écrit:Équivalence lexicale : il n'y a plus de patrons, il y a des entrepreneurs.
Autant tu peux lutter contre un patron, autant on va pas empêcher quelqu'un d'entreprendre.
Et puis va trouver un truc péchu à mettre sur une pancarte de manif avec "Entrepreneur".
tzynn a écrit:nexus4 a écrit:Équivalence lexicale : il n'y a plus de patrons, il y a des entrepreneurs.
Autant tu peux lutter contre un patron, autant on va pas empêcher quelqu'un d'entreprendre.
Et puis va trouver un truc péchu à mettre sur une pancarte de manif avec "Entrepreneur".
non, ce sont bien deux notions différentes: patron/manager vs entrepreneur. On parle d'ailleurs de la théorie de l'effectuation pour montrer la différence entre les deux profils . L'entrepreneur créée sa boite et la fait grandir, le patron/manager gravit les échelons d'une boite existante pour arriver à sa tête. Par exemple le président de Michelin ou d'AirFrance n'est pas un entrepreneur.
LeMoineFou a écrit:nexus4 a écrit:Équivalence lexicale : il n'y a plus de patrons, il y a des entrepreneurs.
Autant tu peux lutter contre un patron, autant on va pas empêcher quelqu'un d'entreprendre.
Et puis va trouver un truc péchu à mettre sur une pancarte de manif avec "Entrepreneur".
Dans la même idée, tu as:
les "avantages acquis" pour remplacer les "acquis sociaux"
les "charges salariales" pour remplacer les salaires
les "charges" tout court, pour les autres dépenses
etc...
Il y a un livre très intéressant sur le sujet, mais je ne retrouve pas le titre.
Coldo3895 a écrit:LeMoineFou a écrit:Dans la même idée, tu as:
les "avantages acquis" pour remplacer les "acquis sociaux"
les "charges salariales" pour remplacer les salaires
les "charges" tout court, pour les autres dépenses
etc...
Il y a un livre très intéressant sur le sujet, mais je ne retrouve pas le titre.
Euh... charges salariales et salaires, c'est pas pareil...
Olaf Le Bou a écrit:Coldo3895 a écrit:LeMoineFou a écrit:Dans la même idée, tu as:
les "avantages acquis" pour remplacer les "acquis sociaux"
les "charges salariales" pour remplacer les salaires
les "charges" tout court, pour les autres dépenses
etc...
Il y a un livre très intéressant sur le sujet, mais je ne retrouve pas le titre.
Euh... charges salariales et salaires, c'est pas pareil...
du point de vue de l'entreprise, si ; elle s'en cogne de la répartition de la somme entre le salarié et l'état.
et il y a bien un glissement sémantique (pas innocent du tout) visant à considérer comme une charge l'ensemble des coûts salariaux (alors qu'un entrepreneur parlerait plutôt d'investissement, non ?).
nexus4 a écrit:Dans le genre glissement, j'en avais parlé chépu où, un "plan social" n'est rien d'autre qu'un "licenciement massif". Et le fin du fin c'est de lui donner un petit nom sexy comme airbus avait fait avec Power 8 qui prévoyait 10 000 suppressions de postes.
Olaf Le Bou a écrit:le fin du fin c'est quand même : plan de sauvegarde de l'emploi
nexus4 a écrit:"Uberisation de la vie politique", c'est pour dire quoi en fait ?
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