[PREVIEW] Les papillons ne meurent pas… - Matz, Bézian

[Nirm]

Message précédent :
J'ai regretté aussi mais ça reste de l'humour et c'est une manière bienveillante de lui demander de faire gaffe.
Avec 3 fautes en 5 mots, cela ne donne pas vraiment envie de répondre... donc quand on veut une réponse, on peut se relire pour augmenter ses chances.

@benCape : je pense que tu as déjà assez d'informations en fait.
Ce que tu appelles des défauts seront certainement anecdotiques pour certains. Pareil pour les qualités.
Plutôt que de chercher dans l'avis des autres, des raisons d'acheter ou pas, demande toi si tu as envie de lire ce type de bouquins.
Regarde les avis des autres en les mettant en perspective avec leurs autres avis, pour savoir si leurs goûts correspondent aux tiens.
Et pour le titre lui-même, l'as-tu feuilleté, en vrai ou avec la preveiw ?
As-tu déjà lu du Bezian ?
Es-tu sensible à son style, sa mise en scène ?
As-tu saisi que ce titre n'est pas un polar comme Matz à l'habitude d'en faire ?
Etc.

[bone]

C'est un bel album

Les images sur plusieurs cases sont

L'idée du n&b avec les papillons en couleurs est originale

[Révéler] Spoiler:

Par contre ou niveau du scénario

Je n'ai pas trop compris ou le scénariste voulait nous emmener
* la déforestation en Amazonie ?
* Les indigènes qui sont chasser de leurs terres ?

Bref, tout çà pour çà ?

[le ppj]

J'ai beaucoup aimé cet album, mais il est très mal marketé.
Ce n'est absolument pas un thriller mais plutôt une fable/drame écologique avec une certaine poésie et un magnifique graphisme. La fin m'a fait penser à Black Orchid de Gaiman, pas de surprise réelle mais une conclusion ouverte que je trouve intéressante et belle.

[Anathème]

J'ai beaucoup aimé cet album, mais il est très mal marketé.
Ce n'est absolument pas un thriller mais plutôt une fable/drame écologique avec une certaine poésie et un magnifique graphisme. La fin m'a fait penser à Black Orchid de Gaiman, pas de surprise réelle mais une conclusion ouverte que je trouve intéressante et belle.

[benDcape]

J'ai regretté aussi mais ça reste de l'humour et c'est une manière bienveillante de lui demander de faire gaffe.
Avec 3 fautes en 5 mots, cela ne donne pas vraiment envie de répondre... donc quand on veut une réponse, on peut se relire pour augmenter ses chances.

@benCape : je pense que tu as déjà assez d'informations en fait.
Ce que tu appelles des défauts seront certainement anecdotiques pour certains. Pareil pour les qualités.
Plutôt que de chercher dans l'avis des autres, des raisons d'acheter ou pas, demande toi si tu as envie de lire ce type de bouquins.
Regarde les avis des autres en les mettant en perspective avec leurs autres avis, pour savoir si leurs goûts correspondent aux tiens.
Et pour le titre lui-même, l'as-tu feuilleté, en vrai ou avec la preveiw ?
As-tu déjà lu du Bezian ?
Es-tu sensible à son style, sa mise en scène ?
As-tu saisi que ce titre n'est pas un polar comme Matz à l'habitude d'en faire ?
Etc.

Non je connais pas du tout mais j'aime bien les BD sur des sujets originaux. Je le garde en tête car je n'aime pas trop les fables écologiques, je préfére quand même quand bien concret avec le réel

[Olaf Le Bou]

hop, je copie ici mon avis posté dans les généralités :

Graphiquement splendide, du grand Bézian, que ce soit dans la construction des planches ou dans les vignettes elles mêmes, notamment les scènes de forêts vierges. Presque un goût de trop peu vu la qualité du dessin.
Niveau scénar, c'est plus mitigé. Bon, à la base je suis peu adepte des dialogues de Matz, que je trouve souvent lourdingues et trop démonstratifs, et c'est encore le cas ici. Mais l'histoire en elle même part bien, le début est prenant, soulève de beaux enjeux, les personnages sont plutôt bien campés et agréables à suivre (bien que leurs comportement soient vite prévisibles), mais assez rapidement le scénar déraille, les enjeux s'étiolent, le propos se perd dans la jungle, on suit tout ça par affection pour le trio de héros, et la beauté des choses, mais il faut bien dire que tout cela n'est pas très consistant. Restent aussi les fréquents intermèdes sur la gent papillonesque, mélange d'érudition scientifique et de poésie contemplative, qui sont très plaisants.