Les fleurs du mal est un recueil qui dessine du flou autour des personnages alors que Liberatore est plus doué justement pour dessiner des corps et des visages, ce qu'il confirme par cette belle couverture qui semblerait hors propos donc la surprise semble totale...
Hâte d'en voir plus. Parfois les associations les plus improbables peuvent accoucher de chouettes trucs et j'en attends ni plus ni moins un aussi joli objet que le journal d'un corps illustré par Larcenet !
Certaines illustrations sont superbes et collent au texte, d'autre sont très (trop) classiques. Mais, à l'évidence Tanino est rentrer dans le sujet... Après on aime, ou pas, Baudelaire et Liberatore 39 €, pour une BD c'est cher, mais ici il s'agit d'un recueil de poèmes illustrés
Les gens intelligents doutent, les imbéciles aussi... mais de rien !
Vu, feuilleté, pas vraiment trouvé que les illustrations collaient avec l'idée que je me suis fait de la lecture des poèmes cultes de ce recueil. C'est un beau bouquin qui plaira davantage aux fans de Liberatore que de Baudelaire donc je passe mon tour sans absolument aucun regret.