Les éditions Olivius - quand Olivier rencontre Cornélius...

[edgarmint]

Nouvelle maison d'édition, fruit du croisement de la maison d'édition Cornélius avec les éditions de L'Olivier...

Pour ouvrir le bal, sur les étals cette semaine, Nadja et les duos Caterina Sansone et Alessandro Totta et Anne Baraou et Fanny Dalle-Rive proposent :







Et un lien vers un article du site La cause littéraire écrit par Myriam Bendhif-Syllas qui évoque ces trois albums : http://www.lacauselitteraire.fr/voies-d ... ivier.html

[edgarmint]

Et le lien vers le communiqué de presse pdf : http://www.lamartinieregroupe.com/asset ... ooklet.pdf

Vous y trouverez des extraits de chaque album.

[edgarmint]

Cul nul et ses histoires de cul, donc, qui partent en eau de boudin, ne m'ont guère plus qu'amusé. Je dois admettre que j'attendais un peu plus du duo d'Une demi-douzaine d'elles. Peut-être le fait qu'il s'agisse en fin de compte d'un recueil d'histoires courtes (2 planches par histoire).

Le Nadja, Les filles de Montparnasse, est par contre très réussi !

[edgarmint]

Vu chez des voisins, ce soir, dans Mauvais genre sur France Culture, un numéro essentiellement consacré à la bande dessinée avec notamment au programme un entretien avec Jean-Louis Gauthey qui viendra parler du lancement de la collection Olivius.

[B DAHAN]

Merci, intéressant.

[edgarmint]

Froide et inquiétante errance... Pour les amateurs. Pas très joyeux, mais ce n'est pas le but, m'a bien plu...

tretat. Sur le balcon d’une chambre d’hôtel, un homme veille. Au bout de son regard : les falaises éclairées d’où s’est jetée sa mère vingt ans plus tôt. Le temps d’une nuit, le narrateur déroule le film de sa vie, cherche dans sa mémoire rétive les traces de sa mère disparue. Une question s’immisce peu à peu dans son esprit : comment suis-je encore en vie ?

L’adaptation sensible que réalisent Thibault Balahy et Loic Dauvillier parvient remarquablement à transposer le roman d’Olivier Adam en une oeuvre nouvelle : le jeu des images et des couleurs, le contraste ménagé par les citations du texte original et les planches souvent muettes, laissent émerger une enfance douloureuse et indicible, qui n’empêche pas un dénouement lumineux.