Cremildo a écrit: (...) Pour un peu ils vont nous dessiner D'artagnan mourrant à Maastrich en brandissant le drapeau bleu-blanc-rouge.
--- tu as des références bien en rapport avec ta localisation !
.
Cremildo a écrit: (...) Pour un peu ils vont nous dessiner D'artagnan mourrant à Maastrich en brandissant le drapeau bleu-blanc-rouge.
Cremildo a écrit:Bon, ben je l'ai acheté et je suis bien déçu. Scénario trop décousu. Histoire pas du tout crédible.
Et puis en 1822, il me semble que le drapeau portugais était blanc et bleu. Le drapeau actuel vert et rouge que l'on voit page 38 ne date que de 1911. Et c'est pénible aussi de voir des personnages censés être portugais porter des noms de famille espagnols.
Donc je ne pense pas continuer cette série.
Le Rescator a écrit:Cremildo a écrit:Bon, ben je l'ai acheté et je suis bien déçu. Scénario trop décousu. Histoire pas du tout crédible.
Et puis en 1822, il me semble que le drapeau portugais était blanc et bleu. Le drapeau actuel vert et rouge que l'on voit page 38 ne date que de 1911. Et c'est pénible aussi de voir des personnages censés être portugais porter des noms de famille espagnols.
Donc je ne pense pas continuer cette série.
Tu as tout à fait raison pour la "Bandeira de Portugal" :
1830 - 1910 :
1911 - ... :
Cremildo a écrit:...
"Désinvoltes", c'est le mot. Même si ce n'est "que" de la BD, se documenter un minimum me semble la moindre des choses, quand on fait de l'historique. Pour un peu ils vont nous dessiner D'artagnan mourrant à Maastrich en brandissant le drapeau bleu-blanc-rouge.
Cremildo a écrit:Pardeilhan a écrit:Cremildo a écrit:Alors je ne sais pas si vous vous êtes un spécialiste en mode du XIXème siècle, mais comment faites-vous pour repérer qu'il s'agit d'une veste de femme de 1822 ?
--- simplement parce que le boutonnage est inversé par rapport aux vestes d'homme (et il y a une raison à cela).
Cela daterait du moyen-âge ; mais sans remonter si loin, au XIXe siècle c'était déjà le cas.
La mode actuelle fait que l'on porte de plus en plus de zips aux vestes (donc pas de boutonnage)
Mais si boutonnage il y a, la différence existe toujours bel et bien.
.
Ah OK. Je n'avais jamais fait attention à ce détail. Comme quoi on en apprend tous les jours avec la BD.
Cremildo a écrit:Bon, ben je l'ai acheté et je suis bien déçu. Scénario trop décousu. Histoire pas du tout crédible.
Et puis en 1822, il me semble que le drapeau portugais était blanc et bleu. Le drapeau actuel vert et rouge que l'on voit page 38 ne date que de 1911. Et c'est pénible aussi de voir des personnages censés être portugais porter des noms de famille espagnols.
Donc je ne pense pas continuer cette série.
toine74 a écrit:Cremildo a écrit:...
"Désinvoltes", c'est le mot. Même si ce n'est "que" de la BD, se documenter un minimum me semble la moindre des choses, quand on fait de l'historique. Pour un peu ils vont nous dessiner D'artagnan mourrant à Maastrich en brandissant le drapeau bleu-blanc-rouge.
Invoquer Dumas en prônant la précision historique...
Cremildo a écrit:(...) Je n'invoque pas du tout Dumas. D'ARTAGNAN a vraiment existé et il est bien mort à la bataille de Maastrich.
jolan a écrit:Mais alors c'est lequel qui était caissier à Intermarché (Un riche lieu) ?
Vivi2 a écrit:Comme on parlait des "Maîtres de l'orge" dans la conversation, je suis allé relire la série (toujours une bonne lecture).
Si VAN HAMME s'ennuie, il peut rajouter un tome car depuis 1997, le monde de la bière a encore bien dû changer!
Le goût amer du chocolat.
1850. Le commerce du chocolat est en plein essor. Dorénavant l’or brun ne se déguste plus seulement sous forme de boisson, mais également de tablette … Et pour la toute première fois de son histoire multimillénaire, la culture du cacao se lance en dehors de l’Amérique du sud : à Sao Tomé, petite île au large de l’Afrique !
C’est là que débarque Philippe Da Costa Bourbon, pour y faire commerce. Il fait la connaissance d’une jeune héritière, Sofia Socrates. La famille de cette dernière possède une exploitation cacaoyère, mais la fragile jeune femme rêve de rompre avec une pratique honteuse et ancestrale : l’esclavage. Philippe, lui, est justement chargé d’acheter des esclaves, afin de faire prospérer les affaires de son père. Mais au contact de Sofia, va-t-il changer sa vision du monde ?
Bientôt une passion va naître entre eux … Pendant ce temps, le père de Philippe, Dom Louis, ayant tout perdu il y a 28 ans à cause du père de Sofia, arrive à son tour dans la propriété. Après une longue traversée en mer, il ne désire qu’une seule chose : se venger ! Aveuglé par la colère, il est prêt à s’en prendre à Sofia ainsi qu’à Maïra, son ancienne esclave. Un retournement de situation aussi inattendu que dramatique va précipiter les deux familles dans la violence …
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