de stoney » 14/02/2020 18:01
La vie s’écoulait paisiblement à Varsovie en cet hiver 1929. Une famille heureuse, loin de se douter que cette paix ne durera pas longtemps. 1939, l’invasion allemande. Les juifs sont conduits dans le ghetto, première étape avant les camps… Auschwitz, l’horreur. Alors si un ange se présente à vous, il ne faut pas le laisser s’envoler. Elle s’appelait Hannah, et ce fut mon ange. Mais que peut un ange face à la barbarie, à l’indicible, au pire...
Auschwitz aujourd’hui, c’est un silence qui hurle. Un silence pour nous laisser imaginer l’écho de l’horreur, la mémoire des cris et des prières.
Parmi les portraits du souvenir, celui de David. Le regard de la douleur, mais aussi de l’espoir. La volonté de ne pas avoir été abandonné, de ne pas lâcher prise. Car même au cœur de l’inhumanité, les anges ne peuvent jamais être loin. Et celui qui pleure n’est pas toujours celui qui souffre le plus
Emilio Van der Zuiden sort de sa zone de confort avec cette histoire scénarisé par Stephan Desberg.
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stoney le 04/05/2020 14:05, édité 1 fois.
"Des tirs de mortier sur un camp de réfugiés.Tout de même...c'est inconvenant" Moïse Tschombé