Polomatt a écrit:Bouleversant, c'est le mot qui collera le plus à ce récit... Un récit viscéral, cathartique certainement pour Jean-Louis Tripp..
Un livre qu'on ne peut pas lâcher, malgré les émotions (fortes hein...) qui, même si on peut penser qu'elles feraient plonger dans un pathos inconvenant, nous font plutôt réfléchir à comment cet état de déchirement fait basculer des vies entières, avec toute la palette des autres émotions, parfois contradictoires (ou actions contradictoires comme l'auteur les avoue) qui tantôt font resurgir et revivre le trauma, tantôt tomber dans une culpabilité tenace et indicible.
Un livre exigeant, mais nécessaire.
Suivant son parcours personnel, il sera sans doute plus ou moins lacrymal. Et la fin qui est tout autant le début du livre, sans en dire plus, je rejoins Jaune, c'est... Oh là là.
Merci Jean-Louis Tripp.
Alexander a écrit:Pffff... Ça m'a secoué ce bouquin. Le genre de truc auquel tu repenses les jours qui suivent. Et les jours d'après. Tu sais alors, parce que ça n'arrive finalement que rarement, que tu as lu ou vu un truc intense.
forumnath a écrit:Alexander a écrit:Pffff... Ça m'a secoué ce bouquin. Le genre de truc auquel tu repenses les jours qui suivent. Et les jours d'après. Tu sais alors, parce que ça n'arrive finalement que rarement, que tu as lu ou vu un truc intense.
C'est exactement ça : j'ai repensé à ce livre pendant des jours à la suite de ma lecture.
Un très très bon album que je conseille très vivement.
toque a écrit:J'apprécie beaucoup les livres de Jean-Louis Tripp. Pourtant celui-là je ne voulais pas le lire. Le sujet était trop dur.
En voyant que toutes les critiques dithyrambiques, je me suis laissé tenter. Malgré tout, ils est resté quelques semaines en attenante, pour plusieurs raison. La taille du bouquin, j'étais fatigué et je n'avais pas envie de me lancer dans une si grosse lecture, et puis le thème qui faisait encore effet repoussoir sur moi.
Finalement hier soir, après une excellente soirée qui m'avait laisser d'humeur joyeuse, je me suis dit que c'était le bon moment. Il était pourtant 1h du matin, mais je me décidais à en lire quelques pages. Deux heures trente plus tard, je refermais le livre, bouleversé.
Si je vous parle de mon expérience de lecture plus que du livre lui même c'est que je suis gêné pour le décrire. Pourtant les superlatifs ne seraient pas usurpés. Mais cela me semble déplacé.
Je ne sais pas si je relirais ce livre un jour, je ne sais pas si je conseillerais ce livre à quelqu'un. Mais je sais déjà, quelques heures à peines après la lecture que c'est l'une des œuvres les plus marquante que j'ai jamais lu.
toque a écrit:(…)
Si je vous parle de mon expérience de lecture plus que du livre lui même c'est que je suis gêné pour le décrire. Pourtant les superlatifs ne seraient pas usurpés. Mais cela me semble déplacé.
Je ne sais pas si je relirais ce livre un jour, je ne sais pas si je conseillerais ce livre à quelqu'un. Mais je sais déjà, quelques heures à peines après la lecture je sais déjà que c'est l'une des œuvres les plus marquante que j'ai jamais lu.
Maelstorm a écrit:[ j’ose à peine imaginer d’en discuter avec l’auteur en dédicaces. Maintenant, j’imagine que cela doit faire partie de son cheminement personnel de partager sa peine et son expérience personnelle avec autrui
edgarmint a écrit:Salutations vieux camarade !
CaptainL a écrit:Je me joins aux louanges. C'est la seule bande dessinée qui m'a fait chialer. C'est dessiné et raconté avec une telle justesse... On s'identifie automatiquement, que ce soit à l'auteur ou aux parents. Du coup on se prend une claque émotionnelle magistrale. Ma femme l'a lu quand elle a vu ce que ça me faisait et n'a pas pu lâcher le bouquin. Merci pour cette oeuvre autobiographique exceptionnelle. Du coup j'enchaîne sur extase (à priori je pleurerais moins).
kantessekonmange a écrit:je n'ai pas pu finir cet album... trop douloureux pour moi.
Aleksi a écrit:Et voilà la chronique et c'est un coup de coeur
https://www.bdgest.com/chronique-11522-BD-Le-petit-frere-Le-petit-frere.html
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