Le Paris des Dragons - Sfar / Sandoval - Glénat

[Julien Despreux]

Et si les dragons envahissaient le Paris de la Belle Époque ? De ce postulat surréaliste, Joann Sfar et Tony Sandoval tissent leurs imaginaires dans un canevas d'aventures, de combats, de sacrifices, d'amour et d'humour, dans "Le Paris des Dragons" à paraître le 18 septembre 2024 chez Glénat :

Quand l'ombre des dragons plane sur la Ville-Lumière Paris, 1900.

Voilà mille ans que les dragons vivent cachés de tous, scellés dans les statues et gargouilles à leur effigie. La légende prétend que seul le sacrifice d'un être de grande magie peut protéger Paris de leur colère et préserver le sort qui les maintient endormis.

Mais alors qu'une sirène, destinée à ce funeste destin, est secourue in extremis par une princesse hawaïenne tombée sous son charme, l'ombre malveillante des dragons plane à nouveau sur la Ville Lumière. Et des catacombes au parvis de Notre-Dame, une romance naît sous l'éveil d'un mal millénaire ...

Et si les dragons envahissaient le Paris de la Belle Époque ? De ce postulat surréaliste, Joann Sfar et Tony Sandoval tissent leurs imaginaires dans un canevas d'aventures, de combats, de sacrifices, d'amour et d'humour. Un voyage folklorique, enjoué et libérateur, aux planches d'une beauté épique à couper le souffle.

Un Ex-Libris Exclusif est proposé par Glénat et BD Fugue :

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[jolan]

Ex Libris qui est une citation de cette toile

Renoir - Bal au Moulin de la Galette, 1876

Renoir - Bal au moulin de la Galette 1876.jpg (160.64 Kio) Vu 423 fois

[Maelstorm]

Terminé à l’instant. L’histoire est pas dingue dingue et les dialogues des fois fort moyens, mais rien que pour le graphisme de Sandoval, que j’apprécie fortement, ça valait une lecture complète.

[Edward Newgate]

Ça démarrait bien, dessin et narration enthousiasmants, univers riche et background mythologique intriguant, mais plus ça avance plus ça se délite. Clichés (romance lesbienne, au secours les fantasmes de Sfar...), bagarre omniprésente, raccourcis scénaristiques, enjeux expédiés, narrateur omniprésent et pourtant inconnu qui parle "djeuns" (bonjour la ringardise, on dirait un prof de 50 ans qui essaie d'avoir l'air cool auprès de ses élèves) et apparition de l'écriture inclusive dans les dernières cases, on touche le fond. Je le ramène cette après-midi. Dommage car le dessin était vraiment chouette.