Le Labo - Hervé Bourhis / Lucas Varela - Dargaud

[Bolt]

Troisième BD de l'argentin Lucas Varela chez Dargaud. Cette fois-ci il met en images une histoire de Hervé Bourhis sur les débuts de l'informatique, sous forme comédie absurde.

1975. Jacques-Marie Bertrand est le dirigeant de la florissante entreprise de photocopieurs Bercop. En bon chef d'entreprise, il sait que gouverner, c'est prévoir. Il désigne alors son fils, Jean-Yves, comme directeur du nouveau pôle recherche et développement, « le Labo ». Pour Jean-Yves, l'avenir, c'est l'informatique ! Avec ses séances de méditation, la découverte du jogging, et ses chercheurs à la pointe, le Labo sera peut-être la success-story du siècle à venir.

Plus d'infos chez l'éditeur.

[DixSept]

La chronique de Le labo est sortie !

[Cooltrane]

Lecture pas encore terminée, mais ce truc assez déjanté ressemble un peu à la série de Smolderen & Clérisse et ce serait bien le tome sur le 70's qui leur manque encore pour l'instant. Graphiquement, on en est franchement pas loin et PDV format chez Dargaud, on est +/- dans le même format et avec un peu de vernis sélectif, cela ferait vraiment illusion.






En tout cas, je le rangerai à coté de ceux-là, c'est sur.

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j'ai cru voir une alusion au Freak Brothers comme livreurs de came.

[Nirm]

Bien aimé même si j'aurais voulu qu'ils assument encore plus le côté décalé.
C'est une fiction qui se veut loufoque tout en étant documentée en s'appuyant sur des faits réels.
Le dessin colle bien à ce choix mais j'ai trouvé dommage qu'ils ajoutent les infos en pages de garde. Ça me donne l'impression qu'ils ont voulu ajouter un "on ne dit pas que des bêtises en fait" à mon sens inutile.
Mais ça reste fun si on accepte le parti pris du ton (tant graphique que du scénario).

[Cooltrane]

Bien aimé même si j'aurais voulu qu'ils assument encore plus le côté décalé.
C'est une fiction qui se veut loufoque tout en étant documentée en s'appuyant sur des faits réels.
Le dessin colle bien à ce choix mais j'ai trouvé dommage qu'ils ajoutent les infos en pages de garde. Ça me donne l'impression qu'ils ont voulu ajouter un "on ne dit pas que des bêtises en fait" à mon sens inutile.
Mais ça reste fun si on accepte le parti pris du ton (tant graphique que du scénario).

en effet... cela ruine un peu le tout en refermant le bouquin....

.... même si c'est instructif aussi.

[Capitaine Haddock]

Je partage votre sentiment un peu mitigé, on est entre le faux docu et la parodie, et le fait que l'histoire oscille constamment entre les deux affaiblit un peu le bouquin, qui a d'autres qualités assez chouettes (notamment graphiques, le trait de Varela s'adaptant très bien à cette rétrofiction).