C'est bizarre, il y a un passage pseudo-comique dans le livre, un clin d'oeil à Corto Maltese. Quelqu'un en sait plus, sur les rapports entre le héros d'Hugo Pratt et l'Arménie ?
A priori, Paolo Cossi aime beaucoup Pratt et a voulu lui rendre hommage.
"La maison dorée de Samarkand" évoque le génocide arménien, notamment quand Raspoutine libère un général sous réserve qu'il devienne instructeur de l'armée d'Enver Pacha. Il me semble aussi (à vérifier) que Pratt met en scène l'assassinat d'Enver Pacha par les arméniens en 1922.